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A& 1 11R li.- :8.OUT.lQ.U EdubA. fem. ~

chanddes paJeDt des.loQano .... à lieur btie, cp1 hll ou Poutip Je dmi«e.luo~s OÙ fe met•

lfmMJit{, d :w le RoyaPibewiki (d) 13 février 2017 à 18:45 (UTC)t.

~ cfordimurckt m&i.Ueura marcban6.

ARR 1 V E. R. . mb. oc :at. Pam :air au. limoàoa I’IOit A Il lU ER E.-< ;.oavs, ~cames cl’AR :Lite&r.e, ddlèiodefcrendre,cpndoo.~·ea.-mchemio.VOu, fe dit dœ pmïa d’UQ .~t Ci,UÎ ’* le moios de ;•oilà hean :ufemeœ.., ;.,i de voftre ~ le COIIIifr { ;ûllie flll.’ la t’au.

r

ordinaire d’une œilf :1’ille miw lita Lundis & laVen-A R lU JUUi. - F A 1 X. fubft. malè. La pe :w. Juaye dn :dis. Ondit aufii, p da marchandifes ~nt., ;.. oill’enfant eft ~ ~ &. ct qui lOte de la~ l’ftl à bon pqrt, Co.ir p :at eau, foie panc :rre, ~on d’une femme apréa l’eutant. flpelqlleHiftS ~t les a ruc :u& !&ns Etœ ~éa. il.eft AtrM rout l’.nrim{.IJ} :ld-. ptùcequd’enfant ydemcureCOuch~. à propos pourdiGJer. Cemot"nCDtlile-’rif"• .œm.. D’autres le Mœmentla b#iyr.-JJU , p4rCe que quand tl me CfUÎ diroil : • ..d rit• •pptllnl. Meaage. . .

til ddtou , ta femme dt enticreJneiJt ddivrée. On A lllll v llll, fe dit auffi en parlant des mu :Oiltl’tS de toul’appelle, auJli {e’III !ÜtJe , par« : qu’iJ ae (QJt qu’CO fecond tes Jes cWes qui lè«>nt cf. :am Je IIIOQI{e,. fOie pat hafàrd, lieu , c’dU dire , :~prt !’s t’cnfJm. CllaelqueHOS rap- foit dans le coun ordinaire de la DIIQire. Un boo Atho. pcllent. purtllt.4 , qui dt fortement attaâlé am :: deux nome predit toutes les ~cürfes qui mwn,. dam «nt lnembran~.

,

ans, 11ft Labil~ homme doit pRYOir tou$ la inconve-A 1ERE.-F I E F. Cab&. mak. C’dlun fief fernienuqw peuvem.- r riFerdanS l’aftàlrequ’Î !entreprmd. v :~nt qui depend d’un 3Utre liefdomînaiat, qu’on appel- il dt.,, ;., ; un grand tmlheu.r d=a ·œtte famille. · a’il le Plein {lt{. .•.

.

vouurrir1 jamais de re110mber en «tte Aœe ~ VOIU fe-ARRIE. K.E.-GARDli.fubft.fem. C’dlbFe

rez bien chaftié. il ne lny dl jamais . -rrivi de elire 1111 de l’armée qui marche la detnim :. ou qui cft à 1autre bon mot. Mars .., ;,,to1~jows CJl Carefme. cxtr emité dela tcftc du camp.

·

A llll J v Bill , fe dit auiJi figurément en cOOfes mor~es. ARR 1 E. R E. -MA IN. fubtl •. maCe. dt un coup D dldifliciled’mim à la perfcaion. CJU11nd on mat qu’on fr~predu derriere dela m.UU . ou . par un JJlOùVe- •rril’er à quelque 6n, il en faut prtndreJea moy~ mrmt contrain : à ccluy qùclle fait ordinairement en cet homme cft •rrivé à un haut point de fortUile. les

tv anr.

.

honneurs , les richeaès 1uy .,, ;.,,,de toutes parts. ·A R Rl ERE-NEPVEU. fubtl. m ;dè. C’dt le A11. a.nER , en termes deMarine, ~gni6c, Pàuiirla nep~cu dm ncpvcu ’ le : defçendant d’un nepveu. barre du gouvernail fous le vent, & manœuvrer com-ARRI. ERE. - flANAGE..TertncdesE. :w.x&Fome fi l’on vouloit prendre le vent en pouppe : ce qùi fe rdts , cft le tcm1,s qu’on bi Iii : les belliwx d :ws b forcit fait, quand on ~eut venir à bord de q_uelque u :re vlliflll’rés le temps du panage el(piré.

fc.’ ;UJ, ou éviter quelque banc ou cfcuesl. ARR 1ER E-P 01 NT S. fubft. mafc. C’eft une On dit proverbialement, :q,u’un malheur n’.crrive guc :rcs ligne continuë de points d’aiguille qai fe forme, quand fans l’aw :re ; qu’il.,,,., b~e :n des c.hofo entre le verre& aprés avoir fait un point par delfous , on tiche l’~le la bouche. en arriere poor en fai.te un I.Uitre point par deiiù.s qw ren- AR 11. 1v i , tlll. part. paO : & :adj. ,

de ks pointscontinus.

AR R 0 BE. fubft. fem. Tmnede Marine, qui(edit ARRIERE.- SA1S0 N. fl,bfi.fern. cftune[l.Îfon du poids de trt1ltc-une livres. Ce mot dl venu d’ ..trrd" éloignée d’une autre. Ce vin fer.. bon fur l’•rrim-( .-ifon, . Efpagnol, qui lignifie la même chofe. L’,~rro6, de J.ai... c’dl ~dire, 311 mois d’ Aouft, en la faifon la plus éloig- b ne à Segovic pcfe feulement vingt--cinq livres. née Jdm :nd.mge. le bled f.. : vend m ;eux furl’•I’Yiert- AR R 0 CHE. fubft. fetn. Herbe p,o~quhimt (.szfim , c’t-fi l Jtrc , au mois de Juin le plus éloigné de en quinze jows. Ses fwilles fonduges dù cotlC : de Ja b nou•cllc moillon,

.

tige, & vont t()Ûjours en diminuant vers la pointe corn-On dit auffi d’un homme. qu’il dHur l’,crritrt-A•fin, medesfmde ftcfche.. E.Ilcs fontgraftès, pleinade quand il· till vÎl’LtX ; & au temps le plus éloigné de fa jus, & verc :!ca tirant furie jaune. Ses tiges font,roujcuncllè.

ges , & hautes quclqudOis de qu :me coudées, d’où tor-ARR 1ERE-VASSAL. f. m. Qweflnllild’un

tcnt plufit’UD branclu :s chargées de graine enclofe dans aurrc vatlll , ou celuy qui tient un arriere-fief. On dit de petites bourfes. On tient que lts efpinan font des auffi un Arrte_u· {mfif, u·1c rente ~~.rrit~t-fot~&itrt, &c. efpcces d’,motbts. ~ y~des .,,,,.,, fa~vages ’· & da ARRIERE-R0U’sURE. 1mnedeMaçon-

.mo<bt.~ de mer, qw n :flèmblent aux efpmars. On :sp- &K :ric. C’dt b voutc qui cft au derriere du tablel11 d’tme pelle . :~uffi les Arr«bts. Jlomws diUIItl f•lkttts. E .o Laporte • ou d’une fcndtn :, & qui en cooronnc l’em.br :l- tin, •triplex, ou ..,.,lus. furc.

AR 1 0 G AN CE. f. f . Orgueil, fupabe. Cet hom-ARR 1MAGE.. fubll :. mafc. Terme de M3rine. mc exige le M’C1l’lent de (es dettes :m ::c u :oe..,,g,.,in-C’eft la difpofition, l’ordre, ou l’amngement deb fupporiable. ceV3lctrépond :avecune~e.m•..mu· nrgaifon du vaillèau. On diuuili ArJ’JIIl ;(e. ARR 0 GA MM :EN T. adv. Les·bm.t :mx & la A R R I S S E R. v. a& Terme de M.uine. C’ell :, Abaif- f :mf.lrons parlent ""’.f,u,. ,

fer ks vergues pour les attacher fur les bords du navire. A R R 0 G A N T , AN T u. adj, Superbe, ffër. in-A R R I V AGE.. fubtlt mafc, Abord~ marcb~fcs folent. Ill’a rcceu avec une mine’"' :«~’· illuy . :ul. dans un port. L’OrdOnnance Je la Ville veut qu tl y ponclu_Cil. !ctlDCS ""lf.mtl. le Sage diu)u’ù n’y :uien de ait un f.fchevin commis pour ttee’loi.r les declarations plus infupport :lble ~·un.gueux •rr•g.ut. Ce mot yÎalt des ,mirAgts de~ march. :andifcs fur les ports. du Latin ArTf.(AIIU, Ccluy qui s’ . ;wibuë quelque dJc A R R I V E. fubfi. 1 :m. Terme de Marine de Levant. avec hauteur.

.

C’tftle cotlé du. vaillèau qui regarde la rive ou 1 :~ terre. A R R 0 G E R. vcrb. :u.~t qui ne fe dit~ cpt’en ct1 AR.R 1V E E. IUbfi. fi :m. Fin d’un voy~, quand on phmfl’S. S’.mogn un droit • une :l&lt011té, pour dût. a a~1.~n~ le li’-'1.1 ~ù on avoit ~effe.in d’aUer, , Il a été re~ s’attribuer une chofe qui n’eft pas deuë. f.Ù . : a fon o~ml’tt par fcs :m11s. on l’etl "ille attendre a ARR 0 ND IR. w ;rb. . aét. Rendre rond, ou.âe&. l’.trrivit , à l ;a dlfccnte du codK :. on c.bttcà Rome J. :s gurc circul :ùre, fpheriquc, qlindtique. Lac ;olornncf rrovifiOns du jour de l’.amrtt du Couria qui retient b s’~trr•ndiJftnt !ùr le tnur ; & les globes ~ d.1tte.

,

Amndir un bafl’m de fOntaine av« un corde :w, ArmJir A 11. R 1 v i. F. • lignifie quelqudi.)is , Entrée. Ce Minillrc une juppe , ln manteau. Al’Tflf4.r un~ figure • la faùc a wut dungé à fon Am rit Jans le~. aftjirc :s. les m.u -Froiftre de relief.