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^7-2 TABLE ANALYTIQUE.

(Uctaienl distincts des clients, 277-278, 320. A l'origine, ils n'étaient pat compris diiiis )» populus, 277, note 4. Comment la plèbe s'était formée, 278. Comment eiie s'i ^t augmentée plus tard par radjonclion des vaincus e.l des étrangers, 338. Les pN'lciens n'avaient à l'origine ni riiigion, ni droits civils, ni droits politiques, 278 et suiv. Leur lutte contre la classe supérieure, 321 etsuiv. Ils soutiennent les rois, 323. Ils créent des tyrans, 323-324. Efforts et progrès de la plèbe romaine sour les rois, S38 et sitiT. ; sous la République, 34i et suiv. ; sa sécession au mont Sa- cré, 346-347; le tribànat de la plèbe. .S4t8-3M. La plèbe entre dans les cités, 3:i et suiv.

Plébiscites, 3&2.

Pontifes. Surveillaient les cultes domestiques, SA. Pontifes patriciens, 274; pontifes plébéiens, 363.

Préteurs, avaient quelques fonctions religieuses, 213.

Procédure antique, 224-225.

Propriété. Droit de propriété cbez les anciens, 63 et suiv. ; relation entre le droit de propriété et la religion, 64. La propriété fut d'abord inaliénable, 73 ; — indivisible, 7&. Ce que darint le droit de propriété aux époques postérieures, 399- 400, 442, 446, 464.

Provlnoia. Sens de ce mot, 444. Comment Rome administrait las proviaces 444 et suiv. Les proTÏnciauz n'avaient aucun droit, 445-447.

Prytanée, foyer de la cité, 147 ; analogue an temple de Vesta, (00,

Prytanes. Les prytanes étaient i la fois des prêtres et des magistrats, 3lo;

piytaneg et aén ileurs, 390.

Repas. Le repas était un acte religieux, 24. Repas funèbres offerts aux morts, 12-15, 33, 49. Les repas publics étaient des cérémonies religieuses, 179-183; repas publics à Athènes, 180; en Italie et à Rome, 182.

ReUgiou. La religion domestique, 31-32, 65. Comment les anciens compre- naient la religion, 195-197. Religion particulière à chaque cité,- 166. La religion ro- maine n'a pas été établie par calcul, 194, 256-257. Influence de la religion dans l'é- lection des magistrats, 205, 312-215. Transformation du sentiment religieux, 4&0.

Respublioa , xi «oivov, 37^.

RôvolutloQS. Caractères essentiels et causes générales des révolutions dans les cites anciennes, 270. Première révolution qui enlève à la royauté sa puissance po- litique, 283 et suiv. Révolution dans la constitution de la famille par la sépara- lion des branches de la gens et par l'affranchissement des clients, 301 et suiv. Révolution dans la cité par les progrès de la plèbe, 321 et suiv. Révolutions de Rome, 291-295, 304-305, 3l'7-32(, 337-363. Révolutions d'Athènes, 287 et suiv., 312 et suiv., 331 -et suiv. Révolutions de Sparte, 285-286, .405 et suiv. Disparition de l'ancien régime, et nouveau système de gouvernement, 375. L'aristocratie de richesse, 380-385. La démocratie, 385 et suiv. Luttes entre les riches at les pau- vres, en Grèce, 397 et suiv. ; à Rome, 438.

Rituels, dans toutes les cités anciennes, 197-309.

Rome. Formation de la cité romai.ie, i52. Cérémonie de la fondation, 1&3-1S0. ^Jature de l'asile ouvert parRomulus, 152. Le caractère romain, 254-259 ; supersti- tions romaines, 254-'.'56. Le pairiciat, 273 et suiv. La pl«be, 277 et suiv. Le sénat, fyo,275. L'asst-mblee par curies, 189,275. La royauté, 204-207, 291-294. Lutte c>ïs rois contre l'aristocratie, 292. Révolution qui supprime la royauté, 394-290*

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