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TABLE ANALYTIQUE. 473

Dr4dinaliop do patriciat, 298, 3'«2-344. Efforts et progrès de la plèbe, 345 et suit. Le tribunal, 348-352. Les assemblées par tribus et les plébiscites, 352. La plèbe ac«  quiert l'égalité civile, politique, religieuse, 356-363. Pourtaut, les procédés du gou«  Ternement elles mœurs restent aristocratiques, 437. Formation d'une nouvelle no» blesse, 438. Conquêtes des Romains, 428 et suiv. Relations d'origine et Je cult«  entre Rome et les cités de l'Italie et de la Grèce, 425, 428, 431. Premiers agrandissa- menl8 423 et suiv. Sa suprématie religieuse sur les cités italiennes, 429-438. Rome se fait partout la protectrice de l'aristocratie, 43S-440~ Imperium romanum, 44fc- 446. Comment elle traite ses sujets, 446-447. Elle accorde le droit de cité ro» maine, 447 et suiv.

Royauté. Ce qu'était la royaaté primitive, 203 et sofv. Les rois-prèlrea, 204. Avec quelles formes liturgiques ils étaient élus, 204-205. Lears attributions judi- ciaires et militaires, 206 et suiv. La royauté héréditaire comme le sacerdoce, 207. Ba<TiXiT; ii^ol, 208, Sanclila» regum, 209, n'a pas été abolie à Athènes apria Codrus, 290. Révolution gui supprime partout la royauté, 283 et luiv. Magistrats annuels appelés rois, 210, 285, 290. Reœ sacrorwn, 396. Le mot appliqué, duraot l'âge aristocratique, aux chefs des génies, 299.

Sacerdoces. Dans les anciennes cités, les sacerdoces furent longtemps hérédi- taires, 140-141. Sacerdoces réser>-és au patriciat, 380.'La plèbe acquiert 1m ucei- doçes, 361-363.

Sacrosanotoa. Sens de c« mot, 349-350.

Seconde vie. On a cru d'abord qu'elle se puuit dau k toabwo, 9. QaelU

idée OD s'en est faite plus tard, 12, 416.

SiKraxtilB, œuvre de SoloQ, 316-317.

Sénat. Le sénat se réunissait dans unMieu sacré, 190. Il était compoi'é des chefs des gentes, 275. Introduction des sénateurs conscripli, 304. Le sénat u'Athè- nes, 390. Le sénat de Rome, 437-439.

Sépalture , ses rites et les croyances qui s'y rattachaient, •-•, 11. Pourquoi la

privation de sépulture était redoutée des anciens, il-i3.

Servlus Tallius. Ses réformes, 338-342, 381.

Shradda, chez les Hindous, analogue au repas funèbre des Grecs et des Ro- mains, 18.

Soaur (la) subordonnée au frère, pour le calt«, M; pour l'béritaga, 76-83.

Solon. Son œuvre, 313-317, S71-876.

Sort. Quelle idée les anciens s'en faisaient, 313 ; ce qu'était le tirage au sort des magistrats, 313, 214 note, 379.

Spart». La royauté à Sparte, 38&-387. L« caractère Spartiate, 360, 385, 38C, 393. L'aristocratie gouverne à Sparte, 407, 408 ■ Série des révolutions de Sparte, 405 et suiv. Les rois démagogues et les tyrans populaires, 410 et suiv.

Stratèges à Athènes , S79, 3S9 ; ce qu'ils deviennent sons la domination ds

Rome, 443.

Succession. La règle pour le droit de succession était la même que pour la transmission du culte domestique, 76-77, 87. Pourquoi le fils seul héritait, non la allé, 80. Succession collatérale, 84-85. L'héritier collatéral devait épouser la QUe du défunt, 81-82. Droit d'aînesse, privilège de l'ainé, 89-93. Le droit de succession d'a- près les Douze Tables, 366-367 ; d'aptes la légisûlion ds Solon, 872-372.

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