Page:Gasquet - Le Bûcher secret, 1921.djvu/117

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XIII


Le silence de la musique
Et les angoisses de Tristan,
Le péché, l'extase physique…
Cette pâleur qu'elle me tend.

Un crépuscule amer et rose
Par la fenêtre ouverte entrait,
Sur ton coup quelque impure rose
Balançait son coupable attrait.

Tes yeux, ta volonté muette,
Clos pourtant aux désirs humains,
Brûlaient, criaient de fièvre inquiète,
Comme tes mains, comme tes mains.