Page:Gasquet - Le Bûcher secret, 1921.djvu/187

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée



Du soleil pâle sur ma porte,
Le ciel brumeux, un peu de mer
Que le vent plus salin m'apporte,
C'est le premier matin d'hiver.

Ma terrasse encore mouillée
Tristement regarde les prés
Et sur mon âme dépouillée
Tombe l'ombre de mon cyprès.