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A quoi bon travailler ?… Le doute
Est, dit l'autre, un mol oreiller…
Un roulier passe sur ma route,
Encore tout ensommeillé.

« A quoi bon travailler ? Ta vie,
Brave ouvrier, touche à sa fin… »
Et me regardant, plein d'envie,
L'homme m'a répondu : « J'ai faim. »