Page:Gasquet - Le Bûcher secret, 1921.djvu/29

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Et la nuit, la nuit de ses vers,
A pressé ses lèvres moroses
Et dans ses vides yeux rouverts
A fait danser l'ombre des roses.

Grand poète, ô lucide fou,
Le repos n'est pas : souffre encore…
Cette main triste sur ton cou,
C'est la Gloire, hélas ! qui t'adore.

Cueillez des roses de Corfou.