Page:Gasquet - Le Bûcher secret, 1921.djvu/42

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III


Je suis venu m’asseoir
Sur le bord de la mer italienne. Les vagues
Ont dispersé mon cœur dans leurs promesses vagues
Et je me suis trouvé, devant le ciel fermé,
Plus triste que ces rocs… Je n’ai jamais aimé.