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Sainte-Foy. La fig. 52 représente un état en quelque sorte intermédiaire entre la tranchée et l’ouvrage saillant : l’aqueduc émergeait du sol à moitié[1].

Fig. 52.

Après un trajet couvert, il reparaissait ensuite pour aboutir au réservoir de chasse du quatrième siphon, celui de Saint-Irénée. Là six piles existent en partie, y compris celle qui supporte le réservoir. Celui-ci, aujourd’hui enfermé dans l’enceinte du fort Saint-Irénée, présente une muraille de façade assez bien conservée et qu’on aperçoit très bien en longeant les

  1. La découverte du canal tronqué au ras du chemin des Arcs à Saint-Irénée et le dessin avec restitution de la section entière (fig. 52) sont dus à M. Gabut.