Page:Giraudoux - Simon le pathétique.djvu/65

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Les jeunes filles, seules, m’attiraient. La fraîcheur, la fierté, l’ardeur, la grâce, seules, m’attiraient. Mm de Liville en fut d’abord désolée. Il n ne régnait plus chez elle, chaque après-midi, par ma faute, cette confusion de tous les âges qui faisait la gloire de son salon, où des fillettes, de cinq ans offraient le thé, où les académiciens ’ avaient le devoir de bavarder avec des lycéens du : petit lycée. Sous ma conduite, dans un coin de la’ ’maison, jeunes filles et jeunes gens s’assemblaient. Nous retenions par la force, en l’attachant au besoin s’il était de caractère faible, saisi @2 2922 ans €¥.·a !è: l2së. ÉEJPPÈS easy t