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MÉMENTO DU Mois DE iUlN 2l§

Hm Ou même inter-individuellea : c'est-à-dire qu'il imtpliquera

' ^ nécessairement de plus en plus le point de vue sociologique. »

Laugel (Auguste). — Flammes et Cendres, poésies

Lejeune (Louis). — Terres mexicaines.

Levilier (Robert). — Les^ Origines argentines, « formation d'un grand peuple ».

Lichtenberger (André). — En Alsace. Ce sont en de jolies pages ornées d'images aux riantes couleurs, Strasbourg et sa cathédrale, les cigognes, de pittoresques figures de la vérité et de la légende, un gracieux récit d'autrefois, l'évo- cation d'un Noël alsacien, toutes choses qui feront revivre « à ceux qui connaissent l'Alsace quelques-unes de leurs impressions; aux autres elles donneront une idée sommaire de ce qu'elle nous suggère, elle leur fera entrevoir au moins le charme si particulier de cette région qui nous tient de si prés par tant de liens ».

Mancini (Jules). — Bolivar et V Emiancipation des Colonies espa- gnoles, des origines à 1815.

Martin-Decaen (André). — Le dernier ami de J.-J. Rousseau, « le marquis de Girardin. 1735-1808 ».

Mathieu (Cardinal). — Œuvres, « mélanges historiques et litté- raires ».

Maurette (F.). — Etats et Régions du Globe, un étonnant petit volume, qu'on peut, le plus aisément du monde, fourrer dans sa poche, où l'auteur a trouvé moyen de réunir les notions les plus neuves de la géographie moderne, les der- nières statistiques, la description de tous les États, de la vie que les conditions naturelles imposent à leiu*s habitants, que sais-je encore : c'est toute la terre en trois cents petites pages I

Meneval (Baron de). — Le Général Baron Coëhom (1771-1813), « le Bayard alsacien ».

Mocquillon (Abbé H.). — L'Art de faire un homme. «Conseils

f)ratiques d'éducation moderne. De la première enfance à a fin des études. »

Moreux (Abbé). — Les Secrets de la Mer.

Momet (Daniel). — Le Romantisme en France au XVI 11^ siècle. Ne dites pas : Déjà ! Le romantisme est né tout entier au siècle de Rousseau : le mot lui-même est dès cette époque entré dans l'usage.

Mouton (Léo). — Un Coin du Pré-aux-Clercs : le Manoir de Jean Bouyn et V Ecole des beau^-arts. C'est, au cours de quatre siècles, l'histoire d'une glorieuse maison, celle qui élève sa façade sur le quai Malaquais et dans laquelle, depuis cinquante ans, s'instruisent nos futurs ÉU-tistes. M. Léo Mouton évoque en des pages alertes, semées d'ima- ges, tous les personnages qui passèrent dans cette maison depuis l'an 1541 où Jean Bouyn, barbier-chirurgien, l'avait fait construire, et c'est Loménie de Brienne, le prince de Conti, M. de Guénégaud, le duc de Créqui, Lauzun, la prin cesse de La Roche-sur- Yon, le duc et la duchesse de Maza- rin, le marouis de Juigné, Fouché, le ministre de la police, et Vincent Gaillard, le fondateur des Messageries générales.