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290 LE MOUVEMENT LITTÉRAIRE

amusants et trépidants où l'auteur fait vivre et causer ses personnages en auto, à bicyclette, en wagon, en traîneau, en aéroplane, en gondole, que sais-je encore?

Strarbach (Gaston). — La Ruée, « Mœurs contemporaines ».

Strarbach-Baudenne. — Sao Tiampa, époiise laotienne.

Valbert (Léon). — Voir Adolphe Bringer.

HISTOIRE. — LITTÉRATURE THEATRE. — POÉSIE. — POLITIQUE. — DIVERS

Ardouin (Suzanne). — L'Ame de la Voulzie, élégie drama- tique qui fut interprétée au théâtre de verdure de Pro- vins.

Aubert (Marcel). — Sentis, une des « petites monographies des grands édifices de France ».

Audigier (Georges). — La Ville au bois Dormant, jolies rimes à la gloire de Senlis.

i5acot (Jacques). — Le Tibet révolté, « Nepémako, terre pro- mise des Thibétains ».

Baraudon (Alfred). — En Ecosse.

Baucarcé (J.-D. de). — Prestiges et autres poèmes.

Beaucoudrey (R.-G. de). — Le Langage normand au début du XX^ siècle, noté sur place dans le canton de Percy {Manche), un volume préfacé par M. Charles Joret.

Bénédite (Léonce). — Le Musée du Luxembourg.

Berget (A.). — Le Temps qu'il fait, le Temps qu'il feraj notions de météorologie à l'usage des aéronautes, des aviateurs et du grand public,

Blanguernon (Edmond). — La Vie orgueilleuse, poèmes.

Blay de Gaïx (Baron de). — Coraly de Gaïx : « Une amie incon- nue d'Eugénie de Guérin », un volume précédé d'une très intéressante introduction de M. Armand Praviel et dont M. Jules Lemaître nous dit l'émouvante séduction, ce En lisant ce livre on goûtera, dans sa familiarité, le charme d'un passé noble et pur et l'on sera reconnaissant à M. le baron de Blay de Gaïx d'avoir sauvé de l'oubli une amie et une sœur spirituelle d'Eugénie de Guérin ».

Boncour (Paul). — Les Retraites, la Mutualité, la Politique sociale. M.- J. Paul-Boncour est un apôtre de ces retraites ouvrières votées avec tant d'enthousiasme au Parlement et si mal accueillies dans le pays. On peut discuter les opi- nions de l'ancien ministre du travail, on ne saurait contes- ter l'ardente sincérité de ses convictions, ni le très beau talent qu'il met à leur service. Les adversaires les plus résolus du régime social nouvellement établi seront, sans nul doute, d accord avec ses partisans pour proclamer l'intérêt du recueil de ses discours. Il y a là une magnifique dépense de talent, d'éloquence et d'énergie.