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MÉMÈNtÔ t)ËS Mots D*AOUt ET* DÉ SEPTEMBRE 291

Brieux. — V Algérie.

Carco (Francis). — La Bohême et mon cœur, poèmes.

Castier (Jules). — Parisianités, poèmes.

Cheylack (Auguste). — J'entends des appels mystérieitx, poésies.

Choppin (Capitaine Henri). — Journal de captivité d'un officier de Varmée du Rhin (27 octobre 1870-18 mars 1871).

Cornu (Paul). — L' Architecture, « les styles à la portée de tous ».

Costel (Paul). — Sensations, poésies.

Dehérain (Henri). — Dans V Atlantique, « Sainte-Hélène au xvne et xviiie siècle. L'archipel de Tristan de Cunha; Côtes de l'Afrique australe. Les voyages d'Auguste Brous- sonet au Maroc et aux Canaries ».

Démange (Charles). — Notes d'un voyage en Grèce.

Denys Cochin, — Qu/itre Français : Pasteur, Chevreul, Brime- tière, Vandal. Siu* les deux premiers, ce sont des pages familières et d'une noble simplicité; sui les deux autres, des oraisons émouvantes et solennelles. On trouvera dans ce HvTe, « sur l'œuvre de Pasteur, le récit d'un témoin, écrit le soir même des belles journées qu'il avait eu le bonheur de passer au laboratoire de la rue d'Ulm; puis un portrait d'Eugène Chevreul, tracé par un élève des cours du Jar- din des Plantes, plein de vénération, ainsi que tous ses camarades, pour le Doyen des étudiants. Depuis ces temps anciens, vingt-huit années s'étaient écoulées quand le même auteur fut invité à raconter, à Besançon, la noble et vaillante existence de Brunetière, et admis à prononcer, devant l'Académie française, l'éloge d'Albert Vandal ».

Derys (Gaston). — Les Grandes Amoureuses (Suite).

Doimiic (René). — Lamartine, un fort beau livre très ramassé, très éloquent, d'un raccourci impressionnant.

Ducos (Gabriel). — Musiques, de spirituels et gracieux ron- deaux.

Duraciné Vaval. — La Littérature haïtienne, « essais critiques ». En épigraphe l'auteur inscrit cette parole d'Elisée Reclus : « Par la langue, Haïti est la France... » Mais il entend cepen- dant nous démontrer que la littérature de son pays doit être personnelle et non la simple copie de la littérature française. Il essaye, par un examen attentif et impartial des œuvres littéraires haïtiennes, de préparer « la venue de cette littérature qui reflète le pays en ses aspects infinis et en ses infinies séductions ». C'est d'un sentiment très res- pectable et le seul livre de M, Duraciné Vaval témoigne avec éloquence du degré de culture intellectuelle et litté- raire auquel peuvent parvenir, et parviennent, les repré- sentants de cette race noire si personnelle et si intéres- sante. Epry (Ch.). — Des Abîmes au rivage, « à la mer », « Chasses et

pêches ». Esnault-Pelterie (Robert). — Quelques renseignements prati- ques sur V Aviation. Félix (Commandant). — Les Aéroplanes Blériot, description

technique avec plans et croquis. Fougères ((justave). — Athènes.