Page:Gozlan - Les Nuits du Père Lachaise, tome 3, A. Lemerle, 1845.djvu/112

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Glenmour que le comte de Madoc, dont je lui ai parlé… dont elle m’a parlé… veux-je dire, est à Paris… Ensuite… Non ! non ! mille fois non ! Ne dites rien à lady Glenmour… c’est inutile… c’est peut-être imprudent… Ah ! j’y suis !… Ce qu’il faut faire, le voici… Ne laissez absolument pénétrer aucun étranger chez moi ; aucun ; entendez-vous ?… Et mort à qui résiste ! »

Serait-ce de la jalousie ? Il aimerait à ce point lady Glenmour ? pensa Paquerette qui fut obligée de s’interrompre pendant un quart-d’heure sous le poids de l’oppression qui l’étouffait.