maison et va ensuite se cacher dans un petit coin ?
— C’est le balai.
— Qu’est-ce qui a un œil au bout de la queue ?
— La poêle à frire.
— Qu’est-ce qui ne veut ni boire, ni laisser boire ?
— La ronce.
— Dans un grand champ noir sont de petites vaches rouges…
Il ne me laissait pas achever :
— Le four quand on le chauffe ; les braises sont les petites vaches rouges.
— Il y en a quatre qui regardent le ciel, quatre qui abattent la rosée, quatre qui portent à déjeuner ; et tout ça ne fait qu’une. Qui c’est ?
Cette fois, silence embarrassé.
— Je ne sais pas, grand-père.
— C’est une vache, non pas une de celles du four, une vraie vache : ses cornes et ses oreilles regardent le ciel ; ses quatre pieds abattent la rosée ; ses quatre mamelles, qui sont pleines de lait, portent à déjeuner… Voilà…
— Autre chose, grand-père.
— Grain s’moud-il ? Habit s’coud-il ? Grain s’moudra !… Habit s’coudra !…
― Comprends pas…
— C’est pourtant facile : il s’agit d’un tailleur et d’un meunier qui se sont donné mutuellement de la besogne. Le tailleur demande au meunier si son grain se moud : « Grain se moud-il ? » Le meunier riposte en lui demandant si son habit se coud : « Habit se coud-il ? » Et ils s’empressent de répondre, l’un que le grain se moudra, l’autre que l’habit se coudra.
Quand Francis commença de faire des problèmes,