Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome3.djvu/8

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

- AVERTISSEMENT. vn l de France. Aussi dans nos deux premiers volumes, lorsque D(ll.lS '3.VlOI]S à lIDI)1`l1I1€1` UDG copie Où lCS' d€1`Ill€I’S II]OlÃS (lC la — I l€lltI`€ éllâliëflt I`€1l]Pl3CéS Paf UI} ét CGBÈBTCL, DOUS CO1]St3.llOI1S 1,6.1)* ` sence de_la formule finale de salutation, dont les légères va— riétès pouvaient Hlêtfû pas toujours indiflèrentes. Mais dans la période où nous entrons, excepté un petit nombre de billets ’ familiers, dont le ton est fort aisé à reconnaître, le Roi ne s’é— carte pas de la formule reçue : Je prie Dieu qtfil vous ai-t en sa saincte et digne garde. Bien ne devait donc nous empêcher de la SllPPlé€I` d&I'1S lllI1'lPI`€SSlOD (l€S copies 'Olll elle 1l]3.I'1qU.C Clest ce que nous avons fait, sans llindiquer par quelqu’un de ces signes particuliers, utiles pour les restitutions quelque 'peu, arbitraires, mais qui auraient ici surchargé inutilement llim-_ PE€SSlOI1. CD est (l.€ Hlêmû (16 ÈOUÈGS celles des SUSCI’lPlLlQIlS dont nous trouvons le protocole invariable dans plusieurs 1l]ElllUSC[`llS du temps, HOl&I'I1Il'l€I1lZ(.lElI]S Ill] précieux ]I18.IlllSCI’lt _des Archives de la couronne, qui a beaucoup enrichi ce troi- Slè(Il€ VOlI1l'I'l€ Nous ÉIVOIIS PU. Slllppléëf C€S Zi(.lI`€SSCS HVGC 35* . I —Sl11`Z1I1C€, BH liêtlû (l€S copies lI1COIT]PlèlÃ8S. ~ Bepetons, POl.lI` 'llOUlC le reste de lOIlVl`£\g€, CIUB IIOUSTIC Câl)1"lCC £1Il8lOg\1C O!] éCI’lV€1ll COHSÈGIDDIGDÈ üppûféf, S’éCI’lVûl€l]È alors PGPÈOIIÈ IIVCC la au XVIe siècle cappitaine. ll y a plus d’un double consonne, comme le voudrait l'é— cas où la forme d'à présent se trouve tymologie. Nous l'avons fait pour guider moins régulière que celle du xvx° siècle. la prononciation. Cette raison-là faisait` Notremanière décrire le subjonctif du redoubler la consonne dans certains mois verbe faire est une sorte de malentendu comme Jepputé, _/idelle, afin d’indiquer qui semble COI]fOI'ldl’C CC IROÈ avec un lIl'1 le SOI] CIBC UOUS I’CDdOI’lS 8l1jOUl’d`hl.ll P8.]` parfait du subjonctif de la première con- l’accent. Il n'y a d'accent, à cette époque, jugaison. La forme ancienne que jcfucc, que sur les dernières syllabes, et c’est l’ai que tu faces, etc. est la seule 'qu'uue-dé- gu, rarementlegra» e (qui ne porte jamais duction grammaticale rigoureuse puisse sur Ye); le circonflexe n`étaît pas encore admettre. Plusieurs verbes où nous re- d'usage. Ces signes sont habituellement doublons la consonne à certains temps, remplacés parl'additiond’unelettre :aage, , en n’en laissant qn'une à d'autres, jeter, maislre, estant, dcuxiesme, etc.,