nous sera possible, le moyen de recouvrer argent pour nous faire .la
guerre et àmos sugbj ects. Donne a Vinacourt, le xx v’jour de mars 1597.
ne Nam—vn.¤.z. [1597. [ — 27 mus. Orig. autographe.- B.`N. Fonds Béthune, Ms. 90 57, fol. Z1. Cop. — B. N. Fonds Fontanieu, Ms. P. 73, fol. 78 recto ; et Suppl. fr. Ms. 1009-2. ' A MON COMPEBE LE CONNESTABLE DE FRANCE. ' Mon compere, le s' Virginio Ursin m’a escript qu'il est encores là, ` et qu’il perd l'esperance d’estre depesché dedans le temps qu’il fault qu’il parte. sl e vous prie y mettre la main et vous en faire croire ; car vous sçavés combien cela importe ; et si je perds ceste occasion, je ne la - recouvreray jamais. Parlés-en au s' de Sancy, et faictes tant, je vous prie, qu'il soit depesché en mme sorte ou aultre. A Dieu, mon com- pere. Ce xxv1_]° mars à Pechevillers. _ HENRY. 1597.- 30 MA11s.—l’°. Orig. — B. Nt Fonds Béthune, Ms. 90ÃUl, Fol. 83. i [AU CONNÉTABLE.] _ Mon Cousin, J’ay permis à mon cousin le duc d’Espernon d’aller faire un tour en Angoulmois et Xainctonge pour donner ordre à ses - allaires, sur Yasseurance qu’il m'a donnée de me revenir trouver pour me servir et assister en ceste frontiere sur les occasions qui se presen- tent. Je luy ay faict expedier mes lettres de pouvoir, pour commander en mon a s de Limosin, et vous en a bien voulu escrire eeste-c, P Y Y Y pour vous prier de le faire trouver bon à ma sœur la duchesse d’An— goulesme, -et la disposer desc conformer à ma volonté, l’asseurant que je luy feray tomber enmain le gouvernement de Bourbonnois, ainsy que je luy ai faict dire, ou luy donneray telle autre irecompense,
