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LETTRES MISSIVES


[1597.] — 27 sE1> rEM1s1us.—I'°. I Cop. B. N. Suppl. Fr. Ms. 1009-1. Imprimé. — (Economics royales, édit. orig. t. I, p. Il/[2, ‘ [A M. DE BOSNY.] A 1Mon amy, J'envoie deux memoires à m'le chancelier, auxquels je desire queo vous et ceux de mon conseil pourvoyés au plus tost, comme tres importans au bien de mon service, ainsy que vous le pourréscognoistre. Je vous laisse et à luy le jugement auquel il sera besoing de travailler le premier. .]°ou1>liay hier à vous commander de faire pourveoir à ce qu’il faut pour Yaccomplissement du traité que j’ay cy-devant laict avec mon frere le duc de Lorraine ; à quoy je vous prie de tenir la main : et ceste—cy n’estant à aultre fin, Dieu vous ayt I en sa garde. ce xxv1_]° septembre, à Monceaux.

HENRY.

. 1597. — 2 7 sEr rEMBaE. — II"". A Cop. — B. N. Suppl. fr. Ms. 1009-1. i Imprimé. — — Economics rqyalcs, édit. orig. t. I, p. M2. [A M. DE BOSNY.] I Mon amy, Vous entendrés par Vexin l’occasion pour laquelle je le vous envoie, que je luy ay commandé de vous communiquer ; je desire que vous teniés la main, de tout vostre pouvoir, à ce que ien puisse retirer la commodité que je m’en suis promis ; et pour cest efiect empeschés que par faveur ceux qui y ont interest ne puissent rien obtenir en mon conseil, au prejudice de ce que le dict Vexin vous proposera et que je luy ay commandé de vous dire ; dont je vous prie de le croire comme moy—mesme, qui ne vous en diray davantage, pour prier Dieu qu’il vous ayt en sa garde. Ce xxvif septembre, à Longpré. '> HENRY. . ' Cette lettre et la suivante étaient de la main du Roi.