_ DE [ IENBI IV.,'_ 285- l les paresseux, et n’y en aencorespas unede venue, sy que je n’ay _ aupres de moy que mes trois compagnies de chevaux-] egers ; qui ine faiet vous prier, mon compere, de faire haster `vostre compagnie. .l’ay _ accordé une compagnie de carabins à celuy dont Sainct-Geniés 1n’a q parlé de vostre part, et l’aict expedier la commission. Lleqvous prie de luy demander qu’il ia face promptement et qu’il me l'amene. `Je _` pars demain ‘d’icy pour m’en’ aller à Conlluans et m’en saisir. `.l’ay nouvelles que le duc de Savoye leve troupes de toutes parts et se. haste pour venir a moy. Je vous prie, incontinent que vous serés arrivé_à Lyon, mele mander, aflinque je vous y face seavoir de mes 1 nou velles : et remettant le surplusia la suffisance du porteur, je H- ' nirayl par vous prier de le crere. Sur_ ce, Dieu vous ayt, mon com- pere, en sa saincte garde. Ce__xx1_]° aoust, a Chambery. ._ «_. " HENRY. g . . L Ã [~i 600.] .2s i0ü i : . -1~. — `_ _ Orîg. autographe.; Biblioth. impér. _de Saint=Pétersbourg, _l\ls. n° 887, lettre 22. >Copie transmise `e, ’ U par M. Houat., ._ u ‘ ‘ .` I . A—MONS“' DE BELLIEVBE, i . v_ i I., ._ _CHliN(lELIEB DE FRANCE. l i Mons' le cliancellier, Vous entendrés de mes nouvelles par m" il‘e Grand, lequel satin j’ay depesché pour_s’en‘ aller vers ma femmel. llstés sonpartement, si vous voulés que je sois marié dans cette année, ‘ ` laquelle s’en va fort avancée. .le.s’eray tres aiseque vous veniés icy, si i ` vostre santé vous le peut permettre, car vostre presence- servira à donner ordre aux 1 eglemens’qui seront necessaires. rVous pouves prendre vostre-‘ chemin par Grenoble., Le surplus vous Yapprendrés par lVl. le Grand. Bonjour, mons' le cliancellier. Ce xx1i_]° aoust, Chambery. . 4 Y . D- I A 4 ~ HENRY.`, I - ‘ La copie semble oIl’rir ici une lacune ; Joibf estre,, ce qui ne présente pas unisens CHI` €'\PI'èS lC€S IIIOÈS, OD C€UX Cl! COYDPICÈ l `
