Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome5.djvu/338

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, DE HENRI IV. 313 ' V [1600.] — 2_7_ SEPTEMBRE. 4 Orig. autographe. — Arch. du royaume Belgique. Communication de M. Gâcbard, archiviste général. - A MQN FRERE L’ARCHIDUC D’AUTRICHE. . Mon frere, J’ay parlé au comte d’Aramberg de faffaire du s' de Rosny, et luy ay sur cela faict entendre bien au long le desir j'ay ue ar mon mo en et entremise il en re oive tout contentement`; s Y 9 Y que _]e ne mien estendray davantage par ceste—cy, mais bien vous prieray -je de toute mon affection ne m’esconduire’de ma priere et de vouloir donner contentement au dict s' de Rosny, luy faisant cognoistre comme vous alfcctionnes ce dont je vous prie ; qui m’en revancberay en tout ce qui sien offrira pour vostre contentement, de la mesme vo- lonté que vous le scauriés desirer, et que je prie Dieu vous avoir, mon frere, en sa garde. Ce xxvif septembre, 'à Grenoble. ' Yostre bien bon- frere, i ., HENRY. ` [1600. ] — 30 srrrrunnrz. -1**. "[ . Orig. autographe. - — Arch. des affaires étrangères. Correspondance politique, Mss. Florence, vol. II. A Copie transmise par M. Mignet. [ ’ _ [A LA REINE MARIE DE MÉDICISI] i Ma femme ‘, Vous verres et entendrés par madame de Guyer— ’ Le grand-duc de Toscane, à qui lé ce dont Bellegarde s'étaitacquittéle 23 sep- duc deBellegarde, grand écuyer cleFrance, tembre. D'ailleurs madame de Guerche- avait porté, comme on l’a vu, la procura- ville, à qui cette lettre fut remise, partant tion nécessaire, n°épousa Marie de'Médicis de Chambéry le 30 septembre, ne devait à Florence, au nom de Henri IV, que le voir Marie de Médicis qu’après la céré- 5 octobre. Mais le Roi considère la prin- monie des épousailles, 1orsqu’elle aurait cesse comme sa femme, du moment où sa recu solennellement le titre de reine de procuration a pu être remise au grandgîuc ; France. wrrims nm imm rv.—v. ~ Ao