comme je vous ay donné charge de luy dire. Vous donnerés pareille
v 21SS6U1’2il1C6 à S6S dicts I16PV6UX, 6I1V6I‘S l6SqU6lS VOUS_US61`6S d6S '£6I’I116S
(IU6 VOUS jUg6I`6S 6SlI`6 plus PI‘OPI‘6S 6lL COI1V6l13l)l6S. J6 VOUS 6I]VOy6 I
21USSy Cl6S l6U ;I`6S POUF IDOI1 &[11l)21SS€1d6U1` 6t POUP l,6V6SqU6 d6 R6I1I16S,
aflin qu’ils vous informent de mes aflaires et vous assistent en ce qui
se presentera doresnavant par delà pour le bien d’icelles ; lequel je-
VOUS l‘6COl1ll11&1l1d6 (I6 tout 111011 Cœül`, VOUS pïlàllt II16 dOI1I16I` 3.dVlS
(16 C6 S6 PI‘6S6l1ll6I‘€1, COHHI16 j6 l6 VOUS dOI1I16I`3.y (16 11168 i11È611—
ÈlOI1S SUI` ÈOUÉGS OCCUI‘1`6I1C6S. Eli (LIEU (1116 VOUS l6 puissiés fëlll`6 plus
librement et seurement, j’ay commandé vous estre envoyé un `chiflre,
duquel vous vous_ servirés quand il sera besoing : priant Dieu, mon
Cousin, qu’il vous ayt en sa- saincte garde. Escript à Fontainebleau,
le xv1_]° jour de septembre 1598. i ‘ I
., HENRY.
` i W i DB NEUFVILLE.
1598.— 22 sE1>TEMBaE ; i
_ Minute. B. N. Fonds Puy, Ms. 407, ifol. 28 recto. _
Cop. —B. N. Suppl. fr. Ms. 1009-%:)
Y [A LA REINE MARGUERITE.] i v
‘ M’3D1y6-,, l’&dVO1l6 (IU6 jiày llOUSjOUI1S CI‘6U (11.16 VOUS D6 Iïluïl(IU6l?l6S
nullement uà ce que vous mlavés promis. Sy ay-je esté tres aise d’en
6Sî.I`6 uSS6UI`6 P2l1" l& VOSliI‘6, 6E POUP I’I6I1 VOUS 116 Ch&Ilg6I`6S la .
1‘6SOlUlllOIl qU6 VOUS avés PI‘lS6; COI11Iïl6 vous VOUS pouvés 3SS6Ul`61‘
que, de ma part, je ne manqueray à rien de ce que je vous ay promis,
(16 qUOy VOUS d6V6S f2ll1‘6 6SI_&T. 6]; (IU6 j6` îi61'1dl`£iy la IHEIID (IU6 l6 (OUI ;
VOUS S6I`£\ ÈCIIU. C’6SI. C6 (IU6 POUP C6St6 l16UI‘6 VOUS £1UI‘6S POU? I`6S—
ponse à vostre derniere ; finissant celle-cy pour vous baiser les mains.
Ce xxifiseptembre 1,598, à Paris'.
HENRY.
' La minute date cette lettre du 27. à Paris, tandis que le 27 ilétait à Mon-
mais la copie du Supplément francais la ceaux. _
date du 22, jour où nous trouvons le Roi ‘
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DE HENRI IV.
