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DE HENRI IV.


. conseil qu’au prejudice de la demolition que j’ay ordonnée en mon _ ` dict conseil estre faicte des forts et citadelles de mon Royaume, hors- mis celles que _i’ay voulu reserver, le s' de Sainct-Roman fortifie jour— nellement celuy de la Motte, et secrettement y entretientnombre de gens de guerre. Et, pour ce que je desire leur entretenir ce qui leur a esté promis, aflin de leur ostertout ombrage, je vous prie, pendant u’estes sur les lieux, faire deffense de ma art au dict de Sainct—Ro— (I P man de continuer la fortification. du dict fort 'de la Motte, et tenir la main ue les aultres ui ont esté faictes en tem s de uerre soient de- CI (I P S molys, _ suivant que je l’ay_ cy-devant ordonne ; et vous me ferés ser- vice bien agreable : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous tienne en sa saincte _garde. Escript à Paris, le X11]': juin 1 (io 1 . _ . HENRY. — _ ' ' ma _NEUFVlIiLE. ` i [1601.]-16 wmv. ( , Imprimé. — OEcon0mics myales, t. II, chap. 6. i, ( [A M. DE RQSNY.] ( 1Mon am, Mon intention estant ue le s’(de Marabat, ui vous . Y (I (I _ rendra ceste—cy, et qui m’a bien et utilement servy, soit payé de la somme de deux mil escuz, restant d’un don que je luy ay cy-devant _ faict en consideration de ses services, je vous prie de l’en faire assi- ( gner sur les deniers revenans-bons de ce qui avoit esté cy-devant or- i donné pour Yentretenement de Yassemblée Ide Saumur, laquelle,' comme vous sçavés, est rompue ; d’autant que c’est cliose que je veux ` et desire ; et croyes qu’en ce faisant, vous me ferés service tres agrea- ` ble.- Sur ce, Dieu vous ayt en sa garde. Ce xv_]° juin, à 'Monceaux. ` i 4 i HENRY. ‘ Cette lettre était de la main du Roi. I ` ` S(1 _