'_il190, LETTRES MISSIVES sentera, vous conservant en bonne intelligence aveeluy. Je prie Dieu qu’il vous ayt, Mons" de Bethune, en sa saincte garde. De Fontaine- bleau, ce x° jour cloçtobre 1601—. ' . = - — __ i V us ssurvxrss. [1601.]—`11 OCTOB1flE., " ‘_ ' Cop.: — B. N. Suppl. fr. Ms._ lQ09 4. (D’8PI[èS l’autogra’ph.e qui était dans le cabinet du duc de i — suny.) ‘ _ i [A _M. DE BOSNYT] i D _ Mon am _, Par ce entilliomme ui vous rendra ceste-c vous aurés V I . É . (l Y de mes nouvelles, ue ma lemme et mon lils se ortent tres b1en, (I, P D1eu meroy, et gueres moy, pour ce que je me trouvay hier tout mal disposé. J’ay_p1 is aujourd’huy medecine ; de quoy je me trouve mieulx. J’espe1 e avoir bien tost des vostres par la- Forest, que je vous depes— chay incontinent aprés que ma femme fut accouchée, A Dieu, "mon amy ; asseurés-vous queje vous aime bien, comme les elleots vous le prouveront. Ce x_]° octob1¤e, à Fontainebleau. A . ' . — HENRY. i IGC]. 13 0cToB1>.E. ~ Orig. — B.`N. Fonds Béthune, Ms. `90'79, fol. g3.` i i` ` i' Cop. —' Suppl. fr. Ms. 1009-È. _, A [AU CONNÉTABLE.] i ‘ D _ ' ~- MOD Cousin, Je vous ay faict une depesche du Vljc de ce mois,'»qui h a~ esté envoyée au s' de la Guiche, pour la vous faire tenir, par la- 'qllèlle je vous mandois la resolution que j’ay faicte de ne rien ordon- ner de la ca itainerie de Sommieres e` vous ne fussiés ic au rés , P . • au Y P de moy et que nous n’en eussions conferé ensemble. (Test la mesme response que _j’en ay faicte au fils du feu s' de Saurin, present porteur, _ duquel j’ay toute bonne opinion. et seray bien aise de faire pour
