Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome5.djvu/605

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580 LETTRES. MISSIVES ‘ faulte d’e_xercice. Je prie Dieu,, mon Cousin, qu’il vous tienne en sa saincte garde. Escript à Blois, le xxv° d'avril 1602. È -, ' î i HENRY. i i DE NEDFVILLE. ' [1602.] — 26 Avait. Cop. B. N. Suppl. fr. Ms. 1009-2. i . ’ i ja M. DE nosmi]. L Mon amy, Partés pour me venir trouver, incontinent que vous au- rez receu la presente par ce courrier, que je vous envoye exprès ; car j’ay besoing deqvous sur plusieurs occasions qui se presentent, que je vous diray quand vous serés icy,. où il faut que je sejourne huict ou dix 'ours, our faire une diette ue mes medecins m’ont ordonnée, J P (l _ pour me delivrer d'une fluxion qui m’est tombée s1.u* la jambe, laquelle avec le temps pourroit meriter le nom degoutte. Sur ce, je prie .D1u qu’il vous ayt en sa saincte garde. Ce xxv_]° avril, à Blois. ' i ' l602. — 29 avan., À—I’°. - i Orig. — B._ N. Fonds Béthune, Ms. 908ll, fol. 52. i Cop. -» B.- Suppllfr. Ms.(l009—2. " ` 1 _A MON COUSIN -LE CONNESTABLE DE FRANCE. i ' Mon Cousin, Le president Sainct—Julienarriva icy le xxv° de ce mois avec vosdeux lettres du xx11_]°. La premiere estoit accompagnée de l’estat dressé par vostre advis et de mes cousins les mareschaux de France, sur la querelledentre le baron de la Chastre et le s'- de Pierre-Brun ; auquell le dernier avoit refusé d’obeir : ce qui vous au- roit meu de l’envoyer ala Bastille, où il avoit appris à moderer sa co- ‘ Cest-â—dire, auquel cstat., . . . '