Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome5.djvu/702

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[ 1602. ] — 27 SEPTEMBBE.

Imprimé. — (Economies myales, édit. orig. t. I, chap. U1. I

[A M. DE ROSNY.]

Mon amy, Sur ce e Hi ac, au uel ’la laict ex edier une ordonnance pour son voyage—de m’estre venu trouver il y a quelque temps de la part de mr de Bouillon, m’a dict que vous aviés commandé qu’elle luy fust acquittée, pour estre venu à ses journées, qui n’est pas ce que je desire ; c’est pourquoy je vous fais ce mot pour vous dire que ” ma volonté estant u’iI soit aultrement traicté, ue vous le commandiés, attendu que Je l’ay retenu 1Cy prés de moy plus de sixsepmaines. ` Bonjour, mon amy. Ce vendredy matin, xvif septembre.

HENRY.

1602. — 29 SEPTEMBRE

Orig. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 8891, fol. [1.6.

A MONS“ VYART,

comszitten EN Moivcomsnit i> nsu r nr pnusxnzm nn LA wsmcz nz-: mm. Mons’ Vyart, Voyant _le progrès tres prejudiciable et important de la division qui est entre le s’ de Sobolles et ceulx de la ville de Metz, j’y ay fait acheminer mon cousin le duc d’Espernon, estimant que le pouvoir et l’auctorité qu’il a par delà pour mon service ‘ pourra mettre uel ue ordre et lin ài ceste dissention.`Et our roceder lus exactement et serieusement, oultre ce que vous pouvés luy donner d’assistance et ce qui sera en cela requis du debvoirde vostre charge, j’ay


I Cette lettre était de la main du Roi.

‘ Le duc d'Épernon était gouverneur de Metz, où M. de Sobole commandait en son absence comme son lieutenant.