Page:Hobbes - Œuvres philosophiques et politiques (trad. Sorbière), 1787.djvu/503

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la liberté de son esprit à celui que tu juges profane à cause qu’il se dispense de ce que tu observes si religieusement, etc. Or, comme ce n’est pas en ces choses que consiste le christianisme, je permets à chacun de suivre son opinion, et le sentiment de sa conscience. L’intention des uns et des autres est bonne, c’est pourquoi je ne veux pas condamner leuraction.


FIN