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Page:Hoffmann - Contes fantastiques,Tome 2, trad. Egmont, 1836.djvu/268

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vous bien, cher Théodore ! portez-vous bien, et rappelez-vous que personne peut-être n’a mieux compris que moi votre musique. Ah ! je l’entendrai longtemps résonner dans mon âme ! »

Je m’efforcai d’articuler quelques mots insignifiants et sans suite, et je courus m’enfermer dans notre chambre.