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XIII

LES JEUX DE L’AMOUR ET DE LA DESTINÉE


Rosine ne voulut pas s’asseoir ; elle s’approcha de la cheminée et présenta ses pieds devant le feu.

Elle regardait à la dérobée la chambre de l’étudiant. C’était une chambre garnie — d’hôtel garni : un lit, un fauteuil, une chaise, une commode et une table. Des livres de droit étaient épars depuis la porte jusqu’à la fenêtre ; deux gravures anglaises ornaient les murs revêtus d’un papier bleu, à légers ramages. Le manteau