Page:Houssaye - La Vertu de Rosine, 1864.djvu/165

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

mes, ô mon Dieu ! je vous remercie. Ces violettes sont un avertissement.

Rosine n’attendit pas M. de M*** ; elle s’enfuit sans savoir encore où elle irait, mais ne comprenant pas qu’elle fût venue jusque-là.