Page:Houssaye - La Vertu de Rosine, 1864.djvu/178

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— Vous me ferez mourir de désespoir. Si vous m’aimez, donnez-moi la liberté de revenir demain, puis après, puis toujours.

— Toujours, toujours, murmura le jeune homme, qui ne savait plus ce qu’il disait.

Il s’était penché au-dessus de Rosine, et ses lèvres couraient comme les flammes vives sur les joues et sur les yeux de la jeune fille.