Page:Houssaye - La Vertu de Rosine, 1864.djvu/201

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« Je vous ai bien aimé moi pauvre fille qui voulait donner sa vie a l’amour, mais a un seul. »

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« Si vous savié quelles angoisses ! toutes les aspiracions vers le bien, et le mal tout autour de moi ! »

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« Je meurs avec une singulière volupté : il me samble que je m’anveloppe dans un linceul de nége, car je m’envole toute blanche : c’est froid, mais c’est doux. »

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« Il ni a pas de quoi s’énorgueillir, car j’en ai été quite à trop bon conte. Sans votre sœur, sans votre maîtresse, je nen serais sans doute pas là. »

« On ne le croira pas que je meurs sans avoir mal fait, moi qui a passé par le théâtre, mais vous n’en doutrez pas, vous. »

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