Page:Houssaye - La Vertu de Rosine, 1864.djvu/98

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nid. Tout ce que j’ai est à vous, poursuivit-il en raillant un peu.

Il indiquait du doigt quelques meubles surannés d’hôtel garni.

— Mais, reprit-il en traînant son unique fauteuil devant Rosine, que faut-il pour être heureux ? Du temps à perdre. Le bonheur, c’est le temps perdu de la jeunesse.