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21 décembre. — Je suis tourmenté par la pensée de cet Oberdank. Je me décide à écrire aujourd’hui à l’empereur d’Autriche que la peine de mort, pour tout homme civilisé, est abolie[1].
Ce soir, j’apprends, par le gendre de Meurice, qu’il a été exécuté hier. — Ma lettre était partie.
- ↑ Voir Correspondance.