Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Correspondance, tome I.djvu/137

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Adieu, mon Adèle adorée, tu dors sans doute en ce moment. Quand donc n’en serai-je plus réduit à des conjectures ? Quand donc pourrai-je me dispenser de te demander des nouvelles de ta nuit ?

À demain. Mille caresses et mille baisers pour te punir de me reprocher mon défaut d’estime.

Ton respectueux et fidèle mari,

Victor.