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LE MANUSCRIT DU RHIN.


LETTRE VI. — Dinant.

[Page 53.] « … Le clocher de l’église de Dinant est un immense pot à l’eau. »

Hugo, Le Rhin, manuscrit, folio 40r (détail : croquis du clocher de Dinant)


LETTRE IX. — Aix-la-Chapelle.

La légende de la construction diabolique de l’église a été écrite au retour, à Paris. Victor Hugo, en la racontant, s’adresse cette fois directement à Louis Boulanger.

[Page 73.] « La couronne germanique de Charlemagne, surmontée d’une croix, chargée de pierreries et de camées, est formée seulement d’un cercle fleuronné qui entoure la tête, et d’un demi-cercle soudé du front à la nuque avec une légère inflexion qui imite le profil de la corne ducale de Venise. »

Hugo, Le Rhin, manuscrit, folio 56r (détail : croquis de la couronne de Charlemagne)


LETTRE X. — Cologne.

[Page 87.] Après avoir copié ligne pour ligne, mot pour mot, l’épitaphe latine du comte de Frisheim, le voyageur s’interrompt :

« Je donne ceci pour version à mon Charlot et à mon Toto, ils m’en enverront la traduction dans une de leurs lettres. Les V sont des u, excepté au commencement des mots. Emundus veut dire Edmond. Frisheim est le nom du comte. Subtegor est un seul mot. »

M. Cuvillier-Fleury n’étant plus, il a semblé qu’il serait dommage d’omettre cette parenthèse du père de famille.


LETTRE XVI. — À travers champs.

[Page 131.] « … Le mont voisin, le tombeau du géant, s’est brusquement présenté