Page:Hugo - La Fin de Satan, 1886.djvu/227

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On sent là remuer des linceuls invisibles,
Le sang pend goutte à goutte aux brins d’herbes terribles,
Des vols mystérieux de larves font du vent
Sur le front du songeur ténébreux et rêvant,
Et de vagues blancheurs frissonnent dans la brume
Hélas !