Page:Ingres d’après une correspondance inédite, éd. d’Agen, 1909.djvu/659

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L’Iliade et l’Odyssée.
Dessins pour l’Apothéose d’Homère.
(Musée de Montauban).
Smyrne.

Étude pour l’Apothéose d’Homère. Ingres lui fait dire,

en marge : « C’est moi qui ai nourri le poète ».
(Musée de Montauban).

Pl. 57