Page:Institutes Coutumieres avec des renvois aux Ordonnances de nos Rois, Vol.I, 1710.djvu/153

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
81
DES PERSONNES.

par l’Ordonnance du Roy Henry le Grand , il leur faut Letres. Cette réglé femble tirée de paroles Vivantes de Guimier,dans là Giofèfuc la pragmatique, tit. de numéro & e/aalit atc Car dirait ut». $. inter cos. verbo filii. Arma , feu infignia generis ai b a ftardos non tranfiunt , quoi fatis videmus ficrvari , quia non permittitur , eis portare arma plena,fed t fan fuir fan t bar ram per fcutum armorum . Nous avons des Coutumes qui déci lent encore que les Bâtards iffus de noble génération de par pere., & leurs <enfen s font • réputée Nobles , jom(fatts 4^prMl*gt de noblejfe en toutes cho fes. Voyez Tart^’aoi. de la Coutume d’Artois. -. v*g i .a- ’* virü «•’• !* * Et de-là vient que Paul de Caftrcs, fur la Loy d* Liberis & Poflumis & Ripa ad Legem ex faÜo. f. fi qui s Rogatus. D.aiT t rebellianum , ont écrit que le nom de Bâtard , n’étoit point odieux en France. . o - ^ ’ m j^fais depuis TEdir de i£oo.‘ pout Je reglement des Tailles, les Bâtards, encore qu’ils foient ifliisde peres nobles, ac Fe peuvent point attribuer la qua-