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DE LA PHILOSOPHIE NATURELLE


X X X IX. COROLLAIRE III, > Si au lieu d’avoir ſuppoſé Y= on l’avoit ſuppoſé ny, on auroit eu fydy=fnydy, & en intégrant / Ydy= nyy mettant enſuite cette valeur dans l’équation 2 A-2ƒYdy 2 2 =u², & ſuppoſant de même que quand ya, "=0, on -nyy, devient en ou √n x Vaay y. Et d t = eſt aura 2 Ana a, & on aura en ſubſtituant u = √naa—, dy V2A-25Ydy 72 yy a a — -dy ce cas dt = y y n2 x Vaafant ſur A C comme rayon un quart de cercle, & élevant au point P la perpendiculaire PM, le temps employé à parcourir la droite ▲ P aura pour valeur l’arc ACM × ² car cet arc I dy yy Vo dy Si on ſuppoſe dans cette équation dx = n XV aaуу y=a, on aura alors pour l’expreſſion du temps par A C le proI duit de V n par le nombre qui exprime l’angle droit, ou ce qui revient au même par le rapport du de cercle au rayon. quart Ce qui fournit cette remarque finguliere que le corps central étant le même dans cette hypothèſe de peſanteur, de quelque diſtance que ce corps parte, il arrivera dans le même temps au point C puiſque la hauteur n’entre pas dans l’expreſſion du temps. 353 3 Jedną d’où l’on voit qu’en faiFig. 22.