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DE LA PHILOSOPHIE NATURELLE


157 -f=g²+³) une force exprimée par⁄2+3 (ƒ+8 « + ³ −ƒ-8 » +¹) -ƒ—g²*¹)) il eſt clair qu’en f² — g² (f+8 九十三 multipliant cette expreſſion par la petite épaiſſeur Aa=dg, on aura l’expreſſion de l’attraction que le petit orbe abcd ABCD exerce ſur le même corpuſcule P, & en intégrant, on aura l’attraction cherchée de la ſphére ſolide. A B C D. C. Q. F. T. + I I I I. PROPOSITION III. PROBLÉME III. Trouver attraction de la ſurface ſphérique entiere ACB ſur le corpuſcule P, en ſuppoſant que toutes ſes parties l’attirent par une force qui agiſſe en raiſon inverſe du quarré de la diſtance. On aura dans ce cas n 2 ; reprenant donc l’expreſſion Fig. I. générale de l’attraction de cette ſurface ſphérique laquelle a été trouvée dans l’Article premier, & mettant pour n la valeur — 2 dans la préſente ſuppoſition, on aura 27ff (28-ff-88 g X 2 g F5-²6) ou en réduiſant g g cg X 48 ft 2 rf² exprime l’attraction de la ſurface ſphérique lorſque z — C. Q. F. T. cg² 2, qui rff > I V. COROLLAIRE I. Pour avoir l’attraction de l’orbe abcd A B C D dans cette Fig. hypothèſe, il ſuffira de multiplier cette expreſſion 2² par T dg= = Aa, & en intégrant cette expreſſion de l’attraction du 2 cg³ petit orbe, on aura pour l’expreſſion de l’attraction de la 3rff fphére ſolide entiere A B CD, dans cette même hypothèſe de