Page:Ivoi - Femmes et gosses héroïques.djvu/97

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— Sur mon cercueil, alors… je suis empoisonnée aussi… Il me faisait goûter tout avant lui.

Doucement, sa tête se renversait en arrière.

Elle eut un regard attendri sur nous tous ; enfin, dans un murmure :

— Ça finit au mieux comme ça.

Et puis ses mirettes tournent ; elle exhale un soupir douloureux et elle se raidit.

C’est fini, la petite Serbe est partie… là-bas.