Page:Jammes - Le Deuil des primevères, 1920.djvu/220

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
Élégie huitième :
Toi qui ne m’as pas fait mal encore, femme inconnue 
 47
Élégie neuvième :
Sur le sable des allées 
 53
Élégie dixième :
Quand mon cœur sera mort d’aimer : sur le penchant 
 55
Élégie onzième :
Où es-tu ? Quelle a été ton existence paisible ? 
 62
Élégie douzième :
Ô grand vent qui soulèves la voile des vaisseaux 
 67
Élégie treizième :
Lorsque l’on jouera de l’orgue pour nous seuls 
 71
Élégie quatorzième :
Mon amour, disais-tu. — Mon amour, répondais-je 
 74
Élégie quinzième :
J’ai retrouvé, dans cette flore, une herbe sèche 
 76
Élégie seizième :
Les roses du château de X 
 79
Élégie dix-septième :
Il a plu. La terre fraîche est contente. Tout luit 
 83