Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/119

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Loiret (Dép.). Mouvement paysan au printemps de 1792, dirigé surtout contre les gros fermiers, II, 1069 et sq ; VI, 26 ; 522 ; la république de 1848, IX, 15.

Loiseau-Pinson. Élu à la Commune, XI, 308 ; membre de l’Union nationale des Chambres syndicales en 1871, 410 et sq.

Lolive. fusillé, XI, 491 : XII, 38.

Lombardie. Son organisation par Bonaparte, V, 347 ; régime établi en 1797, 396.

Lombards (section des), III, 33 ; IV, 1132 ; 1232 ; 1331 ; 1335 ; 1387.

Loménie de Brienne. archevêque de Sens, prête serment, I, 634.

Lonelas, XI, 430.

Londres (V.). Adresse de ses citoyens à |a Convention, III, 209.

Longuecamp, maire de Roye, ennemi de Babeuf, V, 12 et sq.

Longuet (Charles), X, 228 ; 265 ; 286 ; 287 ; il marque l’opposition des socialistes aux républicains, 286 ; marque les nuances entre Blanquistes et Internationaux, 289 ; défend Tolain et Fribourg, 294 ; son rôle dans les réunions publiques, 328 ; 330 ; délégué à Bruxelles, 334 ; 335 ; 337 ; signataire de l’affiche rouge, XI, 256 ; élu à la Commune, le 16 avril, 387 ; 430 ; 431 ; 439 ; 463 ; XII, 298.

Longwy (V.). Pris, III, 42 ; capitule, 152.

Loras (V.). Château incendié en juillet 1789, I, 275.

Lorédan-Larchey, IX, 19 ; 216.

Lorfèvre, meunier à Pontoise, IV, 1671.

Lorgeril (de), XII, 88.

Lorioi (V.). Sa résistance en décembre 1851, X, 23.

Loriquet (le Père). Son pensionnat à Reims, V, 199.

Lortet, républicain lyonnais, VIII, 159.

Lostalot (Cf. les Révolutions de Paris). Regrette l’obscurité de pauvres gens tombés à la prise de la Bastille, I, 264 ; raconte l’enthousiasme des citoyens à la nouvelle des décrets du 4 août, 288 ; son appréciation sur les divergences des districts, 312 ; sur les ateliers de charité, 312 et sq ; son récit des manifestations du Palais-Royal contre le veto absolu, 319 et sq ; note que le peuple a fait rapidement son éducation politique, 324 ; cherche à calmer Paris sur la question du veto, 328 ; sa protestation contre le marc d’argent tend, comme celle de Camille Desmoulins, à l’adjonction des capacités, mais il s’effraie, lui aussi, du vote des pauvres, 396 ; son inquiétude le jour de la Fédération, 555 ; proteste contre la répression de l’émeute militaire de Nancy ; c’est son dernier article, 559.

Lot (Dép.). Troubles ruraux en 1791, II, 703 ; agitations pour les biens communaux, 1087 ; adresse de l’Assemblée de Montauban aux paysans contre les troubles, III, 117 ; IV, 1274.

Lot-et-Garonne (Dép.). L’insurrection royaliste en l’an VII, V, 536 ; comment il accueille le coup d’État de 1851, X, 18.

Loterie. Loterie des biens nationaux organisée par la Convention, V, 82 ; loterie d’État rétablie par la Convention, 154 ; 428.

Loubet (E.). Président du Conseil en 1892, XII, 258 ; se prononce contre la séparation de l’Église et de l’État, 258 ; arbitre à Carmaux, 262 ; président de la République, 268.

Louchet. député à la Convention, IV, 1819.

Louhaunais. Vente des biens nationaux. I, 491 ; 492 et sq ; le partage des biens communaux, IV, 1628.

Louhans (V.). Sa vie municipale pendant la Révolution, I, 427 ; 500 ; 501.

Louis (Paul). Histoire du Mouvement syndical, X, 351.

Louis (Baron), ministre des finances, VII, 38 ; son habileté financière, 89 ; il fait reconnaître les droits de la Chambre en matière budgétaire, 96 ; ministre des finances en 1818, 129 ; sa démission, 138 ; sa proposition sur l’année financière, 131 ; elle est repoussée par les Pairs, 132 ; il se retire du ministère, VIII, 32. ; ministre des finances de Casimir Périer, 114.

Louis XVI. Sa médiocre semonce à l’ouverture des états généraux, I, 232 ; il évoque la question du vote, ordonne la réunion des commissions des trois ordres, 239 ; humilie la nation par son discours du 23 juin, 251 ; ordonne le 27 juin la réunion des ordres, 252 ; fourberie de sa lettre à l’Assemblée du 11 juillet 1789, 259 ; réduit après le 14 juillet à une défensive sournoise, 268 ; protecteur des privilégiés, après le 4 août, 306 ; sa lettre à M. de Boisgelin, 306 ; comment, par sa lettre du 18 septembre sur les décrets du 4 août, il tente de maintenir le régime féodal, 307 ; ses hésitations, le 5 octobre 1789, 347 ; sa résolution du 6 octobre, 350 ; ses hésitations pendant l’hiver de 1789-90 ; ses scrupules religieux, 357 ; le 4 février 1790, il semble presque adhérer à la Révolution, 357 ; mais c’est Necker qui l’a poussé, 358 ; la Révolution dépend de son attitude, à la fin de 1790, 557 ; son état d’esprit en 1791, 658 ; il songe à fuir depuis le début de la Révolution, 659 ; pourquoi le peuple veut