Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/120

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l’empêcher de fuir, 659 ; plans qui s’offrent à lui : se taire et attendre ou fuir et lutter, 660 ; ses hésitations de janvier à avril 1791, 660 ; l’idée de l’intervention étrangère apparait, 662, 665 ; sur la pente de la trahison, 667 et sq ; sa politique de dissimulation et de ruse, 668 ; en mars il est résolu à fuir, 672 ; il veut partir à Saint-Cloud pour Pâques 1791, mais est retenu par le peuple, 684 et sq ; combien facilement il aurait pu conquérir une autorité immense, 687 ; sa démarche à l’assemblée, le 18 avril 91, G87 ; pense à la banqueroute et à la garantie des assignats, ayant de fuir, 693 ; fuite à Varennes, 709 ; sa lettre au baron de Breteuil sur le manifeste du comte d’Artois est inspirée par la peur, 744 ; il ne se résigne pas à la Constitution, 747 ; continue à trahir mais redoute la Révolution au-début de la Législative, 11, 802 ; 812 ; son idée de ruiner la Constitution en semblant la pratiquer, 827 et sq ; il veut duper Barnave, 830 ; met son veto au décret sur les émigrés, 847 ; il accepte, sur le conseil de Narbonne, la politique belliqueuse, 876 ; son discours à l’Assemblée, 876 et sq ; il dissimule sa peur quand il reçoit la note de Léopold, 898 ; sa lettre à l’Assemblée, 898 ; il reconnaît ne plus rien pouvoir contre la Révolution en février 1792, 923 ; il renvoie Narbonne et ainsi perd Delessart, 936 et sq ; fait appel à la Gironde à la mort de Léopold, 941 ; désemparé en mars 1792 ; sa lettre pour la nomination des ministres girondins, 943 ; vient à l’Assemblée pour la déclaration de guerre, 20 avril 92, 953 ; sa trahison flagrante au moment même de la guerre, 956-57 ; sommé par Roland de signer les décrets, 1181 ; rompt avec la Gironde, 1184 ; plan qu’il prêtait aux ministres girondins. II, 1188 ; le 20 juin 1792, 1209 et sq ; on touche à la lutte suprême, 1211 ; sa lettre à l’Assemblée, 1212 : il ne sait profiler du nouveau feuillantisme après le 20 juin et continue de trahir, 1214 ; il compte sur Brunswick, 1216 ; ses instructions à Mallet du Pan, prototype du manifeste de Brunswick, 1272 ; le 10 août 1792, 1291 et sq ; conduit au Temple, III, 9 ; ses affaires de spéculations peu importantes en elles-mêmes, émeuvent profondément le peuple, 284 et sq ; Cf. Procès du roi ; comment son infortune émeut, IV, 882 ; trop orgueilleux et trop humble devant la Convention, 882 ; le crime qu’il expia fut d’avoir méconnu Mirabeau, 833 ; ce qu’il aurait dit à la Convention s’il l’avait compris, 833 et sq ; au point où en était la Révolution il ne pouvait échapper à la mort, 954 ; sa mort, 958 et sq ; caractère de son testament ; un renoncement dévot et débile, 963.

Louis XVII. Sa mort, V, 108 ; la question de la substitution, VII, 32 et sq (note).

Louis XVIII. Ses rapports avec Brothier, V, 363 ; son impression de l’affaire Brothier, 367 ; sa mendicité, 538 ; VI, 151 ; ses relations avec Bonaparte, 184 et sq ; VII, 11 ; son retour en France, 30 ; la Charte de 1814, 31 ; l’entrée à Paris, 31 ; son passé et son caractère, 32 ; ses maladresses, 36 ; son désemparement au retour de Napoléon, 46 ; sa fuite à Gand, 46 ; son retour de Gand, 74 ; son opposition à la Chambre introuvable, 102 ; la dissolution de la Chambre introuvable, 116 ; son attitude en 1821 en face de la Chambre, i63 ; sa mort en 1824 ; jugement sur son œuvre, 205 ; ses relations avec Louis-Philippe, VIII, 42 ; IX, 369.

Louis-Philippe. A Jemappes, III, 188 ; ses intrigues avec Fouché en 1815, VII, 63 ; 71 ; amené par Laffitte en 1830, 230 ; lieutenant-général. 250 ; réflexions sur son. avènement, 254 ; il se rend à Paris, VIII, 6 ; sa lettre à Charles X ; la visite à l’Hôtel de Ville, 9 ; son attitude à l’égard de Charles X, 11 ; il jure la Charte, 14 ; son premier ministère, 22 ; il est le roi de la bourgeoisie, 39 : il veut la paix comme elle, 40 ; son passé, 42 ; il ne cessa pas sur le trône d’être un émigré, 43 ; ses vertus familiales et ce qu’elles ont coûté à la France. 43 ; avide, sinon avare, 45 ; son rôle dans l’affaire de l’héritage du prince de Condé, 46 ; ses allures de roi bourgeois, g4 ; son attitude vis-à-vis de l’Europe, 99 ; son action directe dans la politique extérieure, 135 ; 140 ; son intervention personnelle dans l’affaire de Lyon en 1861, 162 ; son attitude le soir du 5 juin 1832, 183 ; la question ministérielle en 1832, 216 ; premier attentat contre lui, 217 ; sa conduite à l’égard de Laffitte, 239 ; il songe à ses enfants ; la dotation de sa fille et l’apanage de Nemours, 297 ; la dévotion de la Cour en 1837, 339 ; son attitude pendant la crise de 1840, 394 ; il crie plus fort que Thiers, 395 ; comment il débarque Thiers en 1840, 401 ; attaqué par les légitimistes, 416 ; 511 ; son voyage en Angleterre, 512 ; l’âge augmente ch.z lui la confiance en soi, 543 ; il s’oppose à toute concession de réforme électorale en février 1848, 566 ; sa chute, 568 et sq ; IX, 2 ; 5 ; 6 ; 11 ; 15 ; 16 ; sa mort, IX, 202 ; 312 ; 369.

Louisiane, VI, 177.

Lourcine (Complot de la rue de), VIII, 288.

Lourdeuil, commissaire de section, II, 1277.

Lourdoucix (de), VIII, 41, 42.

Lourmaria (V ). Proteste contre le maintien des droits féodaux, II, 771.

Loutchisky, I, 490 ; 492 ; iv.

Louvain (V.), III, 482 ; IV, 1089.