Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/139

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l’an VIII, 47 et sq ; il s’appelle « national », ce que veut dire l’épithète, 54 ; son sens de la mise en scène, 63 ; sa politique religieuse sous le Consulat, 65 et sq ; sa politique extérieure, d’octobre 1799 à avril 1800, 99 et sq ; la guerre contre l’Autriche (1800-1801), 103 et sq ; la paix de Lunéville, 114 : la guerre contre l’Angleterre, 1800-1802, 116 et sq ; comment il pacifie la Vendée, 136 et sq ; sa politique de 1800 à 1812 contre les royalistes et les exclusifs, 143 et sq ; son attitude après le complot de la rue Saint-Nicaise, 147 et sq ; sa politique comme consul à l’égard de l’armée, 163 ; il devient consul à vie, 166 et sq ; sa politique extérieure d’août 1802 à mai 1804, 174 et sq.

Sa politique intérieure, de 1802 a 1804 ; la marche à l’Empire, 182 et sq ; Empereur, 198 ; le sacre, 203 ; il achève l’asservissement de la France, 199 et sq ; troisième et quatrième coalition, 204 et sq ; sa situation en Europe en 1807, 215 ; ses sentiments à l’égard dos ouvriers, 225 ; sa politique en matières de subsistances et d’approvisionnements, 260 ; le développement du blocus continental, 303 et sq ; ses démarches pour entrer dans la marine anglaise, 303 et sq ; ses ambitions immenses ; 304 ; comment par le blocus il satisfaisait les ambitions des industriels français, 316 ; les guerres d’Espagne, 340 et sq ; traits de caractère, 333 et sq ; comment il chauffe l’enthousiasme au moment où il part pour l’Espagne en 1809, 352 ; sa politique religieuse, de 1807 à 1814, 369 et sq ; ses démêlés avec la papauté ; l’enlèvement du pape, 372 et sq ; la campagne de Russie, 384 et sq ; le retour de Russie, 408 ; comment il trouve des dévoûments en France, 409 ; ses plans en 1813, la campagne d’Allemagne, 410 et sq ; état de l’opinion en 1813, 412 ; l’Europe prête à la révolte, 414 ; sa politique intérieure de 1807 à 1814, 440 et sq ; histoire du mariage autrichien, 458 et sq ; son œuvre au point de vue industriel, 511 et sq ; ses avances aux industriels, 531 ; sa sollicitude pour le commerce, 531 et sq ; sa politique ouvrière, 546 et sq : la campagne de France et l’abdication, 582 et sq ; la responsabilité de la capitulation de Paris pèse surtout sur lui, VII, 3 ; sa situation après la capitulation de Paris, 19 ; son abdication, 20 et sq ; le retour de l’Ile d’Elbe, 43 et sq ; sa politique nouvelle, 47 ; sa situation en face de l’Europe, 49 ; habileté de sa politique extérieure, 49 et sq ; son armée, 51 : la campagne de 1815, 52 et sq ; il fut impeccable comme stratégiste à Waterloo ; mais il avait lassé toutes les énergies. 59 ; son retour à Paris, 62 ; son abdication pour Napoléon II, 62 ; il tombe aux mains de l’Anglerre ; Sainte-Hélène. 64 ; sa mort 66 ; jugement sur son œuvre 67 ; le mal qu’il a fait, 68 ; proscription de toute la famille en 1815, 102 ; le retour des Cendres, 382 et sq ; la cérémonie du retour des Cendres, VIII, 411 ; IX, 15 ; 16 ; 302.

Napoléon II. Sa mort, VIII, 215.

Napoléon III (Louis-Napoléon Bonaparte). D’où il sort en 1836, VIII, 294 ; son entreprise de Strasbourg ; elle n’était ni aventureuse, ni stupide, 295 ; l’équipée de Boulogne, 386 ; le prisonnier de Ham et sa légende, 386 ; son évasion de Ham, 536 ; son élection comme député et son admission à l’Assemblée, IX, 56 ; son rôle en juin 1848, 83 ; sa présence à la tribune, 114 ; candidat à la présidence, 126 ; forces qu’il a pour lui ; sa propagande, 127 ; les marchandages avec les partis ; avant tout fidèle au bonapartisme, 127 ; sa victoire du 10 décembre, 128 ; il engage la lutte pour l’extermination des républicains dès la fin de 1848, 140 ; sa politique personnelle se fait jour, 155 ; il développe sa politique personnelle, se place au-dessus des partis, 158 ; son petit ministère, 158 ; son attitude dans la discussion de ta loi Falloux, 185 et sq ; comment il va se servir de la loi de mai 1850, 199 ; son caractère rêveur et conspirateur ; ses dettes, 205 ; son rôle comme président ; ses avances au clergé, 206 ; sa politique à l’égard des différentes classes, 207 ; ses auxiliaires payés, 207 ; sa politique pendant toute l’année 1851 ; sa lutte contre l’Assemblée, 214 et sq ; la proposition de rétablissement du suffrage universel.

Le coup d’État, 220 et sq, puis X, 1 et sq ; comment il l’avait conçu, 4 ; les Idées napoléoniennes et les Rêveries politiques, 4 ; la besogne de son administration depuis 1850, 6 ; la réalité détruit le rêve de Louis-Napoléon, 7 ; la répression des résistances au coup d’État, 25 et sq ; son activité pendant le temps de la dictature, 33 et sq ; le rétablissement de l’Empire, 40 ; le régime impérial : gouvernement et société, 41 et sq ; politique à l’égard des grands corps sociaux : armée, 50 ; Église, 50 et sq ; comment il veut gagner la bourgeoisie par les améliorations matérielles, 52 et sq ; sa conception de l’État, moteur du monde économique, 56 ; les réformes industrielles de 1852 à 1860, 57 et sq : sa politique ouvrière, 64 et sq ; bienveillance et surveillance, 66 ; inféodé à la politique catholique à l’extérieur, 77 ; la guerre de Crimée, 77 et sq ; ses grandes idées de politique extérieure, 105 ; son intervention pour les nationalités lui ralliera, espère-t-il, les républicains, 106 ; ses interventions pour la Roumanie, 106 ; les affaires italiennes jusqu’en 1859, 107 et sq ; la brochure l’Empereur et l’Italie, 116 ; la guerre et les soulèvements, les embarras de l’Empereur, 119 ; Villafranca, 120 ; les annexions italiennes, 121 et sq : la politique libre--