Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/140

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échangiste, les traités de 1860 ; l’opposition protectionniste, 124 et sq : ce sont tous ces embarras qui amènent les décrets libéraux de 1860 ; l’empereur veut se décharger de sa responsabilité, 128 et sq ; comment il tente, en 1860, de contenter les catholiques par les expéditions lointaines, 130 et sq ; ses embarras devant la question romaine de 1860 à1863, X, 137 et sq ; sa maladresse dans l’affaire polonaise, 143 ; il ne réussit qu’à tourner contre lui tous les partis, de 1860 à 1863, 143 et sq ; comment son gouvernement en 1863 ne se trouvait pas au fond très ébranlé, mais la réapparition de la classe ouvrière détermine une opposition nouvelle, 160 ; aux environs de 1860, il laisse parler la classe ouvrière, car il a besoin de son appui contre les protectionnistes, 194 ; il perd, de 1864 à 1867, tout le prestige acquis en Europe en 1856, 246 et sq ; ses idées pacifistes en 1863, 248 ; les traités de 1815, 248 ; la question des duchés, 249 et sq ; le Mexique de 1863 à 1865, 251 et sq ; les affaires italiennes de 1865 à 1867, 255 et sq ; il cherche dans la question des duchés la solution de la question italienne, 257 et sq ; discussion à la Chambre sur cette politique, 259 et sq ; il répond à Thiers sur les traités de 1815, par le discours d’Auxerre, 264 ; Sadowa, 271 et sq ; tous les partis déchaînés contre lui, le poussent à réclamer des pourboires, à chercher de la gloire, 273 et sq ; le rapprochement avec l’Autriche, 278 ; les points noirs, 279 ; les affaires italiennes de 1866 à 1867, 279 ; les manifestations à l’occasion de Mentana, 281 ; la lettre du 19 janvier 1867, 283 ; son règne, de 1868 à 1870, 321 ; sa politique après les élections de 1869, 355 et sq ; nouveau pas dans la voie libérale ; le message du 12 juillet 1869, 356 ; le ministère Ollivier, 374 ; la fin du régime, 374 et sq ; le moment d’accalmie de juin 1870, 388 ; la guerre de 1870, XI, 3 ; ce qu’aurait dû être sa politique en 1866 ; laisser la nation allemande se constituer, 32 ; au lieu de cela il fit une politique de chantage, 32 et sq ; son impuissance en faisait la plus dangereuse des politiques, 38 ; sa politique à l’égard de l’Allemagne après la circulaire La Valette, 57 ; il a toujours l’air de vouloir la guerre en gardant la paix, 57 ; Benedetti le presse de choisir, 57 et sq ; son gouvernement n’avait plus assez de force morale pour accepter l’élévation de l’Allemagne, 62 ; situation où le place la candidature Hohenzollern, 166 ; ce qu’il aurait fallu pour éviter la catastrophe, 167 ; comment ses défenseurs ont cherché à tort à faire retomber la responsabilité de la guerre sur les républicains, 177 et sq ; son rôle les 8, 9 et 10 juillet 1870, 193 et sq ; le 22 juillet, la conversation avec Nigra avant le conseil de Saint-Cloud, 2o3 et sq ; brusque revirement de sa politique en quelques heures, 207 ; sa mort, XII, 92.

Napoléon (Jérôme), IX, 219 ; 226 ; 369.

Napoléon (prince). Sa politique libérale et anticléricale, X, 110 ; son mariage avec la fille du roi de Sardaigne, 115 ; 137 ; 139 ; ses avances aux ouvriers aux environs de 1860, 195 et sq ; il signale à Napoléon III le péril de son attitude vis-à-vis de la Prusse, XI, 38 ; 159 ; son manifeste aux élections de 1871, XII, 22 ; 46 ; 196 ; 241.

Naquet (Alfred), X, 281 ; 286 ; 324 ; élu en juillet 1871, XII, 22, 23 ; 158 ; sa proposition d’amnistie, 179 ; 183 ; 234.

Naquet (Gustave). Son rôle dans les journées du coup d’État, X, 10 et sq ; 153.

Narbonne, ministre de la Guerre, II, 874 ; amant de Mme de Staël, 874 ; il pousse la Cour à la politique de guerre, 875 et sq ; son discours à la Législative, 879 ; il dérive peu à peu vers la Gironde, 925 ; son jeu pour se rendre populaire, g36 ; mais le roi n’aime que Molleville ; il le renvoie, 937 ; son rôle dans les négociations de 1813, VI, 431 et sq.

Narbonne (V, ). La Commune de 1871, 370 et sq ; le procès de la Commune, XII, 33.

Narlez, commissaire de section, II, 1278.

Narvaez, ministre espagnol, VIII, 528.

Nast. Élu à la Commune, XI, 308 ; sa démission de la Commune, 328.

Nation. Affirmation première de son droit éminent sur la propriété, II, 1109 ; son droit dans l’organisation de l’Enseignement chez Talleyrand, 1199 ; chez Condorcet, 1143 et sq ; notion et liberté, III, 445.

Nation (La), journal de M. de Genoude, VIII, 415.

National (Le), VII, 240 ; 242 ; VIII, 35 ; 99 ; 111 ; 112 ; son influence en 1832, 169 ; ses amendes, 170 ; 262 ; 272 ; 276 ; 340 ; 362 ; 367 ; 374 ; ses critiques sociales, 374 ; 376 ; 382 ; 385 ; 393 ; 395 ; 408 ; 411 ; 418 ; 424 ; sur les communistes, 457 ; 56g ; IX, 48.

Nationalisation. Comment la Révolution tout entière est entraînée dans ce sens par la force des choses, IV, 1700 et sq.

NATIONALISATION DE LA BANQUE. Réalisée en partie par la Convention, IV. 1704.

NATIONALISATION DU COMMERCE. Comment la Révolution y vient en 1793, IV, 1661.

NATIONALISATION DE L’INDUSTRIE. Comment l’idée surgit de plusieurs côtés en 1793, IV, 1701 et sq.

Nationaliste. Leur mouvement, XII,