Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/158

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302 ; élu à la Commune, XI, 308, 388 ; son œuvre à la délégation de la justice, 398.

Proudhon, VIII, 50 ; 320 ; 342 ; son opinion sur la crise ministérielle de 1839, 342 ; 348 ; ce qu’il sut de l’émeute de 1839, 348 ; 353 ; ses réflexions sur le chômage de 1840, 36o et sq ; 402 ; son opinion sur Lamennais, 409 et sq ; sur Cabet, 450 ; 456 ; 459 ; sa polémique contre les phalanstériens, 459, franc-comtois comme Fourier, 462 ; son origine populaire, 463 ; son caractère ; il eut peu de disciples, mais de nombreux amis, 464 ; la pension Suard, 465 ; dès les premiers ouvrages son idéal transparait ; la justice entre individus égaux et libres ; 467 ; « la propriété c’est le vol » 468 ; le procès, 468 ; la Création de l’Ordre, 469 ; sa critique de Louis Blanc, 473 ; 480 ; 481 ; 505, 518 ; les Contradictions économiques, 553 ; ses relations avec Marx, 553 ; 556 ; son rôle en février 1848, 568 et sq ; IX, 4, 24, 25, 26, 36, 48, 51, 56, 65, 95 ; son attitude en 1848, son arrivée à la Constituante, « l’isoloir », 96 ; son idée de la Banque du Peuple ; sa proposition au Comité de finances de la Constituante, 97 ; son discours contre Thiers à la Chambre, 97 ; l’excommunication majeure, 98, 99. 108, 111, 119, 123, 124, 127, 128, 12g, 133, 134, 137, 140, 192, 197 ; son attitude antirévolutionnaire en 1850, 200, 231, 234, 235, 239 ; à quoi aboutit sa thèse sur la propriété en 1848, 240 ; 241 ; son talent, son libertarisme, 247 ; thèse, antithèse et synthèse, 248 ; sa vie en 1848-50 ; les Confessions d’un révolutionnaire ; l’Idée générale de la Révolution, 249 ; sa conception de l’État, 249 et sq ; ses idées politiques en 1850, 250 ; c’est seulement en 1851 qu’il arrive à l’anarchie pure, 250 ; le principe fédératif est la conclusion de son œuvre, 252, 255, 262, 264, 265, 266, 267, 271, 27g, 322 ; son projet de banque nationale, 339 ; il le défend contre Thiers, 340 ; son projet de réunion de la Banque de France au domaine public, 342 ; il organise sa Banque du Peuple, 343 ; succès qu’elle rencontre ; mais il est emprisonné, 344 ; la polémique contre Bastiat, 344 ; ce qui est resté de ses idées, 345 ; 36o ; 374 ; 375 ; 380.

Son action sur la classe ouvrière, VI ; 17 ; la Révolution sociale démontrée par le Coup d’État ; la Révolution ou l’Église ? Comment choisira Louis-Napoléon ? 35 et sq ; son Manuel du spéculateur à la Bourse, 63 ; 96 ; incline à l’abstention dès 1857, 103 ; sa campagne abstentionniste en 1863 ; les Démocrates assermentés et les réfractaires, 153 et sq ; sa brochure est inspirée par la plus grande confiance dans la force du suffrage universel, 154 ; 162 ; 174 ; son influence sur les ouvriers parisiens, 242 ; sa capacité politique des classes ouvrières, 244 et sq ; sa mort et ses funérailles, 256 ; lu et commenté par la jeunesse socialiste de 1864, 287 ; son influence sur l’Internationale, 299 ; XI, 42 ; 73 ; 328.

Proudonisme. Un programme inspiré par lui aux élections de la Commune, XI, 307.

Prouvaires (Complot de la rue des). Complot royaliste en 1832, VIII, 167.

Pronveur, député à la Législative, craint l’ébranlement de la propriété par l’abolition des droits féodaux, II, 788.

Provence, II, 758.

Prudent-Dervilliers, XII, 208.

Prudhomme. I, 611, se tait sur la loi Chapelier, 612 ; se tait sur le discours de Brissot, II, 800 ; donne lui aussi une note défiante et triste à la fin de 1791, 822 ; il est encore perplexe et incertain après le décret sur les émigrés, 845 ; le 31 décembre 1791, il entame brusquement la campagne contre la politique belliqueuse des Girondins, 872 ; sa lutte contre la guerre, du 17 au 24 décembre 1792, 886 ; son attitude lors de la crise du prix du sucre en janvier 1792, 1013 et sq ; il justifie et tente de calmer le peuple, 1015 ; tient lui aussi pour la liberté du commerce, 1018 ; 1174 ; 1236 ; les enrôlements civiques, t250 ; son article sur les massacres de septembre, III, 73 et sq ; ses attaques contre Marat candidat, 106 ; il s’émeut des faibles mouvements agraires de 1792, 138 ; sa critique de Momoro, 139 ; sur la messe de Noël, 222, 302 ; il évolue contre la Gironde en octobre 1792, 399 ; son opinion sur les querelles de la Convention, 422 ; IV, 961 ; il glisse insensiblement à l’idée du maximum, 1055 ; incertain dans le conflit des classes qui se dessine, 1207 ; puis il prend parti contre les Montagnards, 1209 et sq ; sa diatribe réactionnaire et fourbe contre les forces parisiennes de révolution, 1214, un mercanti, un lâche et un fourbe, 1396 ; 1419 ; il emploie Babeuf, V, 20.

Prudhommes (Conseils de). Leur création à Lyon en 1806, VI, 279 ; 550 ; leur fonctionnement à Lyon, VIII, 150 ; 226 ; 264 ; 370 ; livrets ouvriers, 370 ; projets et discussions de 1848, IX, 306 ; la loi du 1er juin 1853, X, 70.

Prud’hon, peintre, V, 223, VI, 503 ; 505 ; 508.

Prunelle de Lière, député à la Convention, III, 111.

Prusse, II, 1216 ; elle est l’espoir de Fersen et de Marie-Antoinette contre la Révolution, II, 1216 ; sa lutte avec l’Autriche au XVIII’ ; siècle, III, 444 ; son développement économique à la même époque, 451 ; sa politique en 1795, V, 115 ; ses relations avec la France en 1796-97, 377 ; ses dispositions après Campo-Formio, 309 et sq ; ses négociations avec la