Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/167

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557 ; son attitude dans les incidents militaires de Nancy, 559 ; il soutient le droit électoral des mulâtres, mais ne s’oppose pas en fait à l’esclavage, 572 ; il vote la loi Chapelier et cependant il est démocrate comme le prouvent ses interventions pour faire admettre dans la garde nationale tous les citoyens, 608-610 ; et pour le droit de pétition, 610, 626, il propose la non rééligibilité des Constituants, 698 ; vague de sa pensée après la fuite du roi à Varennes, 716 ; il hésite et louvoie en 1791, en face des Cordeliers républicains, 726 ; son silence le 18 juillet 1791, 734 ; il doit se cacher, 735 ; à la fin de 1791, il raffermit les Jacobins ; il accuse la Constituante de reviser la Constitution pour plaire à la cour, 740-752.

Il commence à s’inquiéter de la politique des Girondins, II, 845 ; à son retour d’Arras, il ruse et équivoque avec l’entrainement belliqueux, 871 ; ses discours aux Jacobins contre la guerre les 2 et 11 janvier 1792, 887 ; ce que vaut sa thèse : il exagère le rôle de la cour, 889 et sq ; il manquait, en cela, de confiance en la Révolution, 891 ; son action contre la guerre, quoique noble et grande, fut inefficace, 892 ; il annonce la résistance des peuples, 893 ; il n’a pas su faire naître un parti de l’action qui n’aurait pas été celui de la guerre, 895 ; son jeu contre les Girondins, 895 ; sa réponse à Dumouriez aux Jacobins, 959, 1083 ; son intervention lors des affaires d’Étampes, 1101 ; sa conception sociale en 1792, 1102 et sq ; un mélange trouble de démocratie et de christianisme restrictif, 1104 ; ses attaques contre la loi agraire, 1106 ; quel était son but en les faisant, 1108 ; sa polémique avec Guadet sur la Providence, 1164 ; ses reproches aux Girondins, 1166 ; il cherche à les atteindre en les solidarisant avec Lafayette, 1166 ; il attaque le projet de camp sous Paris, en 1792, 1179 ; et il a la désagréable surprise d’être d’accord avec les Fayettistes, 1180, son attitude lors du renvoi des ministres girondins, 1189 ; il triomphe contre la Gironde de l’incident Dumouriez, 1195 ; sa politique est défiante et conservatrice à ce moment-là, 1196 ; démocrate et conservateur comme Mirabeau, 1196 ; il attaque l’intervention de La Fayette, 1202. et désarme à demi contre les Girondins, 1203 ; son jugement sur le 20 juin 1792, 1210 ; il suit encore une politique d’attente et de prudence vingt jours avant le 10 avril, 1245 ; il demande une Convention nationale en juillet 1792, 1254 ; son plan politique à cette époque, 1258 ; comment il veut écarter la question de la déchéance, 1260 ; son attitude pendant le mouvement du 10 avril 1792, 1279.

Il reconnaît le pouvoir de la Commune, III, 1 ; délégué à son Conseil général, 2 ; délégué par la Commune à la Législative pour protester contre l’élection d’un nouveau Directoire, 7 ; 16 ; son état d’esprit après le 10 août, 17 ; 18 ; il lutte contre Brissot sur la question du tribunal révolutionnaire, 22 et sq ; il refuse de présider le tribunal criminel, 27 ; sa responsabilité dans les massacres de septembre, 28 ; 31 ; 39 ; il conseille à la Commune de se dissoudre, 40 ; encore son attitude pendant les massacres de septembre ; ses calomnies contre les Girondins, 58 et sq ; il veut rester, par cette politique, en accord étroit avec la Commune, 67 et sq ; élu à la Convention, 98 ; inquiet de la campagne anti-chrétienne, 222 ; il combat le projet de suppression du budget des cultes, 242 ; comment il veut fondre le christianisme dans la religion naturelle, 242 et sq ; examen de sa conception ; ce qu’il y a en lui du prêtre et du sectaire, 247 et sq ; il demeure dans le vague sur la question des subsistances à la fin de 1792, 358 ; il SÎ défend de l’accusation de dictature, 38o ; son habileté au moment où les Girondins poussent leur attaque, 391 ; ceux-ci tentent de l’accabler par une inepte fiche de police ; sa défense, 411 et sq ; 425 et sq ; pourquoi il n’intervient pas à la fin de 1792, pour une politique pacifique, 806.

Pourquoi il veut que le roi soit exécuté sans procès. IV, 858 ; en décembre 1792, cette procédure était trop tardive, 859 ; 876 ; son discours du 28 décembre 1792 contre l’appel au peuple, 911 et sq ; pressentiment de défaite et de mort, 914 ; 935 ; sa critique du décret du 15 décembre 1792 sur la guerre universelle, 966 ; mais il ne va pas jusqu’au bout de sa politique de prudence, 968 ; il dénonce un complot dans le mouvement du 25 février 1793, 1039 ; il glisse insensiblement à l’idée du maximum, 1055 ; il eût voulu seulement noyer la Gironde dans un discrédit infini, 1076 ; 1090 ; sa politique en mars 1793, 1095 et sq ; 1118 ; 1120 ; son intervention pour là création du Comité du Salut public, 1128 et sq ; 1138 ; il veut, après la trahison de Dumouriez, en finir avec la Gironde, mais par les moyens légaux, 1171 ; c’est encore sa politique du 10 août, 1172 ; son attitude envers Danton, 1175 ; débordé par les Jacobins, 1200 ; 1204 ; sa prudence quand il sent que la Révolution devient un conflit social, 1216 ; il excite les sans-culottes, mais il ne veut qu’ils s’attaquent à la bourgeoisie et à la propriété, 1217 ; il propose l’organisation solide des prolétaires, 1230 ; il inaugure sa politique définitive, 1230 ; 1264 ; débordé par les révolutionnaires qui veulent la lutte immédiate contre la Gironde, 12gg ; il conseille une insurrection contre les Girondins, mais une insurrection quasi-légale, 1339 et sq ; 1345 ; il renonce définitivement le 29 mai à la méthode légale, 1362 ; 1370 ; son rôle le 31 mai 1793, 1415 et sq ; sa vie chez les Duplay, 1448 ; son opposi-