Page:Jaurès - Histoire socialiste, XIII.djvu/168

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tion au plan d’éducation de Condorcet, 1466 ; comment il adopte le plan de Michel-Lepelletier, 1490 ; sa formule du droit de propriété, son discours du 24 avril 1793, r 563 et sq ; examen de sa thèse, 1566 ; sa déclaration des droits, 1568 ; son dessein politique en l’écrivant, 1569 ; son attitude sur la question de la guerre et de la propagande armée en avril 1793 ; il est tout proche de Cloots, 1570 ; la proscription de la richesse attriste sa pensée sociale, 1571 ; 1586 ; pourquoi il se rallia à la Constitution de 93 sans essayer de faire triompher ses formules d’avril, sa politique après la journée du 2 juin, 1591 et sq ; son rôle, admirable de conscience, à partir de ce moment, 1594 ; son opposition à fond à Jacques Roux qui lui semble devoir en juin diviser les révolutionnaires, 1604 ; Il semble vouloir pratiquer la tactique de Babeuf, 1606 ; I6I3 ; il surveille Hébert, 1614 ; il prend parti contre lui : et nous, sommes-nous avec lui ou avec Hébert ? 1618 et sq ; il ne veut pas plus du fédéralisme parisien que du fédéralisme départemental, 1620 ; seul il était capable de mener la lutte contre l’hébertisme, 1624 et sq ; il met son autorité intacte à défendre contre lui la Convention et le Comité du Salut public, 1625 et sq ; I632 ; son rôle le 4 septembre 1793, 1673 ; son entrée au Comité du Salut public, 1681 ; son idée de concentration des forces révolutionnaires et son programme de gouvernement, 1668 ; lutte qu’il entreprend de septembre 1793 à mai 1794 contre la démagogie, 1690 et sq ; son activité au Comité de Salut public, 1691 ; il s’élève contre la politique anticléricale de la Commune, 1712 et sq ; sa politique extérieure à la fin de 1793 ; son désir intime de la paix, 1723 ; il combat les hébertistes par des lois organiques, 1724 ; il défend contre eux Danton, 1724 ; il combat partout les sauvageries inutiles, 1726 ; il veut épurer la Révolution sans l’affaiblir, 1727 ; il défend le Comité du Salut public contre les dantonistes en septembre 1793 ; c’était lui et non Desmoulins, qui travaillait à humaniser la Révolution, 1733 ; il demande l’épuration des Jacobins, 1734 ; meurtri par l’intrigue dantoniste, 1737 ; sa situation aux Jacobins dans les luttes avec Hébert et Danton, 1738 ; 1740 ; sa situation en janvier aux Jacobins, 1744 ; il se décide au double combat contre les hébertistes et les dantonistes, 1745 ; obligé cependant de s’arrêter, du 9 février au 13 mars 1794, 1745 ; sa participation au rapport de Saint-Just, 1747 ; accusé par Hebert de complicité avec les dantonistes, 1756 ; résista-t-il à l’exécution de Danton ? 1767 ; 1798 ; il a maintenant la place nette ; l’épreuve décisive, 1799 et sq ; ses adversaires disparus, il ne sait pas indiquer la voie nette ; funestes temporisations, 1804 ; il ne sait pas inspirer la confiance, 1804 ; la reconnaissance de l’Être suprême, faute politique décisive, 1807 ; il ranimait ainsi l’espérance contre-révolutionnaire, 1808 ; son impuissance l’oblige à tuer encore, 1810 ; la loi de prairial, 1810 ; elle est le signal de sa perte, 1812 ; il ne paraît plus au Comité du Salut public, 1S15 ; il s’appuie sur les Jacobins et sur la Commune ; ses rêveries à Ermenonville ; le retour ; le 8 thermidor, 1816 ; la fin, 1816 et sq ; jugement sur son œuvre, 1820 ; sa responsabilité dans l’extension du système de terreur, V, 4 ; réflexions sur la chute, 22 et sq ; regretté par les ouvriers de Paris au début de 1796, 293 ; IX, 254 ; 374 ; XII, 309.

Robespierre (le jeune), député de Paris à la Convention, III, 105 ; IV, 1O23 ; 1190 ; envoyé en mission dans les Bouches-du Rhône, 1726 ; arrêté le 9 thermidor, 1819 ; ses relations avec Bonaparte, V, 142.

Robillard (colonel), XII, 59.

Robinet. Fausseté de ses critiques contre la Constituante, I, 533 et sq ; 656 ; 735 ; III, 219 ; 239 ; 242 ; 251.

Robinet. Élu à la Commune, XI, 308 ; il démissionne, 328.

Rochambeau (maréchal de). Parait à la Législative en janvier 1792, 11, 913 ; 1166.

Rochard, élu à la Commune, XI, 308.

Rochat, démissionnaire de la Commune, XI, 328.

Roche (Jules). Sa politique financière, XII, 244 ; ministre du Commerce, 257 ; 286.

Rochebouët (général de), président du Conseil après de Broglie, XII, 210 ; renversé par la Chambre, 210 ; 214 ; 220.

Rochecervière (V.), IV, 1151.

Rochefort (Henri). La publication de la Lanterne, X, 326 ; 343 ; 347 ; 362 ; il fonde la Marseillaise, 571 ; les funérailles de Victor Noir, 375 ; il est poursuivi, 376 ; au bagne, 492 ; XII, 38 ; boulangiste, sa fuite en Belgique lorsque Constans menace, 254 ; condamné par la Haute-Cour, 254 ; nationaliste, 290.

Rochefort (colonel de). Se charge du 3 décembre 1851, X, 11.

Rochegude. député à la Convention, III, 111.

Rocquain, V, 163, 171, 183, 266, 456, 502, 524, 535 ; VI, 71.

Rodde. VIII, 248.

Rodez (V.) Le Tiers-État demande le partage des communaux, I, 210.

Rodrigues (Eugène), VIII, 160.

Rodrigues (Olinde), Saint-Simonien,