Terrier. Démissionne, II, 1237.
Teste (Ch.). Son rôle en juillet 1830, VIII, 3 ; sa propagande socialiste dans le pari républicain, 174.
Teste, ministre, VIII, 352 ; il a le portefeuille des travaux publics dans le cabinet Guizot, 403 ; comment il s’entendait avec les capitalistes concessionnaires des chemins de fer, 439 et sq ; 537 ; concussionnaire, le scandale de 1847, 545 ; son suicide, 545.
Testelin, XII, 159.
Tester (Droit de). Aboli en ligne directe par la Convention, IV, 1642.
Textile (industrie). Situation des ouvriers en 1794 ; son développement de 1794 à 1800. V, 249 ; situation sous le 1er Empire, VI, 286 et sq ; 543 et sq ; 555 ; la dépression des salaires aux environs de 1830, VIII, 66 ; 226 ; 236 ; IX, 286 ; leur développement sous le second Empire, X, 168.
Théâtre Feydeau, V, 225.
Théâtre Français (Section du), I, I ; son appel aux citoyens passifs, le 27 juillet 1792, II, 1261 ; 1268 ; le 10 août 1792, 1290 ; III, 391 ; son action le 10 mars 1793, IV, 1132.
Theisz. Délégué à Bruxelles, X, 334 ; 335 ; élu à la Commune, XI, 308 ; 311 ; délégué aux Postes sous la Commune, 335 ; 336 ; 338 ; son organisation des Postes, 346 ; 388 ; 396 ; 409 ; 423 ; 430 ; il fait partie de la minorité de la Commune 431 ; 439 ; 463 ; 464.
Thénard. Ses travaux scientifiques, VI, 300.
Théollier. Son rôle à Béziers en 1851, X, 20.
Théophilanthropes. La création de la théophilanthropie et son heure de vogue, V, 185 ; leur influence et leurs principes en 1800, VI, 67 et sq ; interdiction de célébrer leur culte dans leurs églises, 70.
Théot (Catherine), IV, 1814.
Thermes de Julien (Section des), II, 1268.
9 Thermidor, IV, 1816 et sq ; ses conséquences, V, 1 et sq ;
Thibaudeau, IV, 1179 ; 1771 ; 1786 ; ami de Babeuf, V, 20 ; 35 ; 86 ; 103 ; 130 ; 148 ; 272 ; 364 ; 368 ; 370 ; 552 ; 554 ; le Consulat et l’Empire, 564 ; conseiller d’État, VI, 49 ; 54 ; 75 ; 169 ; 337 ; 458 ; proscrit en 1815, VII, 78 ; ses paroles aux obsèques de Grégoire, VIII, 127.
Thiébaud, boulangiste, bonapartiste, XII, 25I.
Thielmann, VIII, 28.
Thiercelin, mécanicien, X, 225.
Thierry, babouviste, V, 326.
Thierry, ancien notaire, membre des Amis du Peuple, VIII, 24.
Thierry (Augustin), II, 1134 ; Saint- Simonien, VII, 260 ; son œuvre historique, VIII, 84.
Thiers (Adolphe), I, 523 ; 543 ; il ignore l’existence de la loi Chapelier, 616 ; 679 ; 682 ; IV, 1023 ; 1034 ; VI, 50 ; 52 ; 75 ; 394 ; VII, 59 ; son rôle en juillet 1830, 240 et sq ; son rôle après la victoire de juillet, VIII, 1 et sq ; 100 ; 114 ; 124 ; 129 ; 139 ; le 5 juin 1832, 182 ; ministre de l’intérieur, 217 ; il fait arrêter la duchesse de Berry, 238 ; comment il provoque l’émeute de Paris en avril 1834, 270 ; il s’oppose à l’amnistie pour les républicains, 272 ; président du Conseil 281 ; un conservateur effrayé de son péché de jeunesse, 282 ; comment il s’enrichit, 283 ; sa politique extérieure comme premier ministre, 289 ; les mariages espagnols, 290 et sq ; sa chute sur les affaires espagnoles, 290 ; il réclame de la Suisse l’expulsion de la Jeune Europe, 292 ; 314 ; 340 ; il refuse une ambassade, 342 ; combat le cabinet Soult, 352 ; redevient ministre, 353 ; comment il manœuvre avec la Chambre, 377 et sq ; sa politique d’affaires, 380 ; le retour des cendres de Napoléon, 382 et sq ; son opposition à la réforme électorale, 385 ; sa politique extérieure en 1840 ; la question d’Orient amène sa chute, 386 et sq ; son opposition au discours du trône, 406 ; 428 ; son rapport sur la loi Villemain, 506 ; son attaque contre Guizot à propos de l’indemnité Pritchard, 514 ; 518 ; 520 ; 534 ; sa lutte contre Guizot, 536 ; 540 ; il dénonce le déficit en 1848, 563 ; son rôle en février 1848, 568 et sq ; IX, 22 ; sa conversion au cléricalisme, 27 ; son élection en 1848 ; il est l’allié de l’Église, 56 ; son rôle au Comité des finances de l’Assemblée constituante, 68 ; encore son idée de retraite à Versailles en juin 1848, 78 ; il se fait, contre Proudhon, le pourfendeur du socialisme, 97 ; 102 ; 107 ; 114 ; son discours pour l’inégalité du service militaire, 121 ; 126 ; 127 ; 128 ; 129 ; ses brochures : Du Communisme, 134 ; De la Propriété, 134 ; il soutient maintenant la politique de Montalembert, 135 ; 142 ; 144 ; 145 ; 153 ; 156 ; 15g ; 161 ; son rôle dans la discussion sur la loi Falloux, 177 et sq ; ses déclarations contre les instituteurs en 1848, 179 ; 182 ; 183 ; 185 ; 187 ; 188 ; 191 ; 196 ; ses menaces aux républicains en mai 1850, 198 ; 201 ; 214 ; 215 ; 217 ; 220 ; 259 ; 260 ; sa défense de la propriété lors de la discussion sur le droit au travail, 263 ; 264 ; 265 ; il proclame un peu vite la faillite des assemblées de production, 279 ; 302 ; son opinion en 1850 sur les retraites ouvrières, 312 ; 318 ; sa critique du projet de banque de Proudhon, 340 ; il défend le
